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Personne/organisation
Ferron, Raymond
Personne · 8 septembre 1906-1961

Ferron, Raymond. Agronome. Maskinongé (Québec), 8 septembre 1906 - [s.l.], 1961. Séminaires de Trois-Rivières et de Montréal, baccalauréat. « Propagandiste en industrie animale » , 1931-1935. « Inspecteur de coopératives locales de la Fédérée de Québec » à partir de 1935. Auteur de L'Aube, un drame en trois actes sur l'importance et les avantages des coopératives; une cinquantaine de représentations de la pièce au Québec, en 1943. Source : Dossiers administratifs CRCCF.

Ferron, Jacques
Personne · 20 janvier 1921-22 avril 1985

Ferron, Joseph Jean Jacques. Médecin et auteur. Louiseville (Québec), 20 janvier 1921 - Longueuil (Québec), 22 avril 1985. Études à l'Académie Saint-Louis-de-Gonzague, Louiseville, 1926-1931; Collège Jean-de-Brébeuf, baccalauréat, 1933-1941; Université Laval, doctorat en médecine, 1945. Médecin : dans l'armée canadienne, 1945-1946; à Rivière-Madeleine (Gaspésie), 1946-1948; à Montréal, 1948; à Ville Jacques-Cartier, 1949. Fondateur du Parti Rhinocéros, 1963. Prix du Gouverneur général, 1963; prix Duvernay, 1973; prix France-Amérique, 1973; prix David, 1977. Publications : L'Ogre, 1949; Le Cheval de Don Juan, 1957; Contes du pays incertain, 1962; Cotnoir, 1962, rééditions, 1970, 1981, traduction anglaise par Pierre Cloutier, Dr. Cotnoir, 1973; La Nuit, 1965; Papa Boss, 1966; Le Ciel de Québec, 1969; L'Amélanchier, 1970; La Chaise du Maréchal-Ferrant, 1972; Les Confitures de coings et autres textes, 1972; Escarmouches : la longue passe, 1975; La Conférence inachevée : le Pas de Gamelin et autres récits, 1987. Collabore à de nombreux périodiques, dont L'Information médicale et paramédicale, Cité libre, Liberté, Parti Pris, La Barre du jour, L'Action nationale. Contes du pays incertain et Cotnoir marquent « une nouvelle orientation dans [la] création littéraire [de Jacques Ferron] : sans renoncer au théâtre, il se tourne vers le conte et le roman» (DALFAN). Sources :Dictionnaire des auteurs de langue française en Amérique du Nord, p. 510-514; Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec, tome III, p. 709.

Ferland, Léonie
Personne

Ferland, Léonie. Religieuse de la Congrégation des Soeurs grises de Montréal (s.g.m.). Fille d'Alfred Ferland, liquoriste, et de Joséphine Hogue; soeur du poète et dessinateur Albert (1872-1943), et de Jean-Marie, Joseph, Émile, Marie-Emma Flore et Albertine Ferland-Angers (1898-1968). Source : Dossiers administratifs CRCCF.

Collectivité · 1978

La Fédération des aînés et des retraités francophones de l'Ontario (FAFO) a été fondée en 1978. Cet organisme œuvre auprès des francophones et des francophiles de 55 ans et plus, domiciliés en Ontario. La FAFO a pour mandat de « promouvoir les intérêts de tous les aînés et retraités francophones de l'Ontario ». Sa mission est fondée sur les objectifs suivants : « […] promouvoir et défendre les intérêts des aînés et des retraités francophones; identifier les besoins et conscientiser les divers paliers de gouvernements à ces besoins et aux services qui les combleront; coordonner les actions des intervenants gouvernementaux, associatifs et privés face à sa clientèle; offrir des services de communication, d'information, de sensibilisation et de formation à ses membres, notamment à la relève (jeunes et nouveaux retraités); favoriser un bénévolat actif et engagé, ainsi qu'une ouverture aux autres et au monde; former des alliances et des partenariats ponctuels ou de longue durée avec tout autre organisme ontarien, canadien ou international, ayant des buts ou une clientèle similaires et compatibles. » Ses champs d'intervention comprennent les domaines de la santé et du logement, la défense et la promotion des droits des aînés et des retraités, la justice et la sécurité pour eux. Ses réalisations sont nombreuses et couvrent plusieurs aspects tels : l'éducation et la formation (cours de leadership, ateliers sur les lois, la psychologie, la santé); la défense des droits (par exemple, les protestations contre les fermetures et réductions de services, les compressions budgétaires dans les services de santé, la préparation d'un mémoire visant l'élimination des frais bancaires imposés aux clubs d'âge d'or). C'est aussi par le biais de foires d'information et d'ateliers (aussi bien que par l'humour et le théâtre d'intervention que la FAFO informe et sensibilise ses membres. Elle collabore et reçoit le soutien de plusieurs ministères et organismes, dont Patrimoine canadien, Nouveaux Horizons, Conseil canadien de l'Apprentissage, le Secrétariat aux Affaires des personnes âgées de l'Ontario, Fondation Trillium et le ministère des Affaires civiques de l'Ontario. La Fédération couvre tout le territoire de l'Ontario et affirme ainsi son leadership par rapport aux autres organismes qui desservent la francophonie. Parmi ces organismes, elle compte le plus grand nombre de membres, plus de 10 000, répartis dans 83 clubs, dont certains affiliés, dans les villes et les campagnes de l'Ontario. Pour joindre ses membres, la Fédération diffuse son journal Vivre+ (6 fois par année), son bulletin en ligne L'Estafette (bimensuel), et elle veille à sa promotion et à la communication au moyen des médias parlés et écrits. La FAFO intervient au niveau municipal par l'intermédiaire de ses clubs et de ses membres locaux. Elle participe également à plusieurs comités provinciaux et défend les intérêts de ses membres dans plusieurs dossiers. D'ici 2010, la FAFO vise, entre autres : à devenir incontournable pour tous les interlocuteurs; atteindre un effectif de 20 000 membres et plus; et refléter mieux la diversité ethnoculturelle de la société. Sources : le site Web de la FAFO, http://www.fafo.on.ca/; notes de visite au siège social de la FAFO; des extraits du manuscrit de François-Xavier Simard, La Force de l'âge, Trentième anniversaire de fon dation de la Fédération des aînés et des retraités francophones de l'Ontario (FAFO) 1978-2008, (paru aux Éditions du Vermillon en avril 2008).

Faucher, Rolande
Personne · 27 avril 1941-

Rolande, Faucher. Auteure, consultante en recherche et en analyse. Ottawa, 27 avril 1941- . Fille d'Albert Faucher et d'Irène Beaudry; mariée à Pierre Soucie, 1962; mère de trois enfants, Luc, Chantale et Alain. Éducation secondaire, couvent Notre-Dame du Sacré-Cœur des Sœurs grises de la Croix; Collège Bruyère. Université d'Ottawa, École normale, certificat d'enseignement, 1961; Maîtrise ès Arts en sociologie, 1980. Enseignante : École élémentaire Garneau, 1961-1965; couvent Rideau, 1963-1964; Association des enseignantes et enseignants franco-ontariens, recherchiste, 1980, 1982; Conseil de planification sociale d'Ottawa-Carleton, recherchiste, 1980-1985; Service de recherche de la Bibliothèque du Parlement, attachée de recherche, 1985-1988, 1990-1991; Association canadienne-française de l'Ontario, présidente générale, 1988-1990; Conseil de l'Éducation et de la Formation franco-ontarienne, présidente, 1993-1996; Comité conjoint prévu à l'Entente Canada-communauté ontarienne, consultante de recherche, Ottawa, 1997-1999; Réseau des services de santé en français de l'Est de l'Ontario, recherchiste, 1999-2000; Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada, recherchiste, 2000-2001; États généraux sur la petite enfance, Toronto, animatrice, 2000; consultante en recherche dans divers secteurs, 1999-2005. Présidente fondatrice : Studio des jeunes d'Orléans, 1980-1983. Présidente : Comité du Centre culturel d'Orléans, 1980-1985; Mouvement d'implication francophone d'Orléans, 1986-1987. Membre du Conseil d'administration de l'Hôpital Montfort, 1986-1991, 1996-2000. Membre du Conseil d'administration et présidente : Centre de théâtre francophone d'Ottawa, La Nouvelle Scène, 1996-2002. Membre de plusieurs comités, dont Bureau de direction de la Fédération des communautés francophones et acadiennes du Canada, Comité de stratégie de SOS Montfort, Bureau de direction du CRCCF, Comité directeur du Fonds Jean-Robert Gauthier et Comité consultatif sur les affaires francophones. Prix de reconnaissance des bénévoles Ville de Gloucester, 1988; Certificat de mérite Albert Régimbald, Assemblée des centres culturels de l'Ontario, 1989; Distinction pour services bénévoles, Province de l'Ontario, Ministère des Affaires civiques et Ministère de la Culture et des Communication, 1989; Prix Séraphin-Marion, Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, 1990; Ordre du mérite, Association des juristes d'expression française de l'Ontario, 1993; Ordre des francophones d'Amérique, Conseil de la langue française du Québec, 1994; Prix d'excellence, Réseau socio action des femmes francophones d'Ottawa, 2001 et Chevalier de l'Ordre de la Pléiade, Assemblée parlementaire de la Francophonie, 2004. Publications : Jean-Robert Gauthier, Convaincre…sans révolution et sans haine, 2008. Collabore à plusieurs rapports, entre autres, « Le bilinguisme officiel au Canada. La deuxième décennie, 1986, Multiculturalisme, son impact sur les groupes minoritaires de langue française du Canada, 1990 » et « Rapport d'évaluation, Négociation de l'Entente Canada Communauté-Ontario 1999-2004 ».

Famille Vachon
Famille · 1898-

Roméo Vachon est né en 1898 à Saint-Marie-de-Beauce, au Québec. Bien qu’il rêvait dès son tout jeune âge de devenir pilote, il s’est d’abord enrôlé dans la Marine royale canadienne en tant qu’ingénieur. Il a servi sur quatre navires différents pendant la Première Guerre mondiale, après quoi il est rentré au Québec. Il a ensuite déménagé à Toronto pour s’engager dans le Royal Flying Corps, au Camp Borden. L’année suivante, en 1921, il s’est mis en disponibilité pour travailler à la Laurentide Pulp and Paper Company, plus tard appelée Laurentide Air Services, où son frère Irénée a également commencé à travailler. Cette entreprise faisait la surveillance des feux de forêt et de la cartographie aérienne. Roméo Vachon a appris à piloter pendant cette période, bien qu’il n’avait toujours pas de licence de pilote professionnel. Il est donc allé suivre une formation de pilote à la société General Motors à Dayton, en Ohio. Il est ainsi rentré au Canada avec une licence américaine, et peu après, il a obtenu sa licence canadienne, devenant le premier Canadien francophone à être reçu pilote au pays. Le gouvernement de l’Ontario a établi l’Ontario Provincial Air Service en 1924, que Vachon a tôt fait d’intégrer en tant que pilote. En 1927, il change de travail et se tourne vers une nouvelle entreprise appelée Canadian Transcontinental Airways qui avait comme mandat de mettre sur pied un service postal aérien régulier pour les collectivités isolées du Québec, sur la rive nord du fleuve Saint Laurent. Dès 1928, Vachon desservait un circuit entre Sept-Îles et Moncton. Cette même année, il a porté secours à l’équipage de l’avion allemand Bremen après un atterrissage d’urgence suivant un des premiers vols transatlantiques d’est en ouest. Lorsque la Transcontinental Airways a élargi ses activités pour établir un nouveau service postal aérien entre l’Europe et l’est du Canada, Roméo Vachon a été nommé responsable du recrutement et de la sélection des itinéraires. Mais la Transcontinental Airways a été absorbée par la Canadian Airways en 1930, et Vachon a été congédié par les nouveaux dirigeants. Il est donc devenu, pendant six mois, le pilote privé de Bob Holt. C’est pendant cette période (1931) qu’il a été sollicité pour piloter le Saro Cloud pour le carrousel aérien transcanadien Montréal-Vancouver par la société Saunders-Roe. Cette même entreprise l’a ensuite invité à se rendre à Londres pour offrir ses conseils en ce qui concerne la mise au point du Saro Cloud. En 1932, Vachon est retourné au service de la Canadian Airlines, cette fois à titre de gestionnaire de l’exploitation. Il a plus tard été promu au poste de chef de district, puis de gestionnaire de la Quebec Airways, une filiale de l’entreprise. En 1938, un an après sa fondation, la Trans-Canada Air Lines l’a recruté en tant que pilote, mais il est ensuite devenu directeur d’aéroport puis superviseur de l’entretien des appareils, et finalement, directeur adjoint de la division de la région est. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été détaché au ministère des munitions et de l’approvisionnement, où il était responsable de la maintenance des aéronefs utilisés pour le Plan d’entraînement aérien du Commonwealth. Plus tard, en 1944, Roméo Vachon a été nommé membre de la Commission des transports aériens, et est devenu conseiller du ministre pour les questions d’aviation civile et commerciale. Il a fait partie de la délégation du Canada lors de la conférence mondiale qui a donné lieu à l’établissement de l’Organisation de l’aviation civile internationale. Roméo Vachon a été membre de la Commission des transports aériens jusqu’à son décès, en 1954. Il a reçu de nombreuses distinctions au cours de sa carrière, dont la Médaille de guerre britannique et la Médaille de la victoire pour son service militaire pendant la Première Guerre mondiale, ainsi que le trophée Trans-Canada (McKee Trophy) pour sa contribution à l’avancement de l’aviation canadienne. En 1960, un parc a été nommé en son nom à Sainte-Foy, au Québec, où était jadis situé le premier aérodrome de la ville de Québec.

Roméo Vachon a épousé Georgette Tremblay en octobre 1924. Ils ont eu quatre enfants : Thérèse, Gisèle, Pierre et Jean. Née à Lac-à-la-Tortue en 1900, Georgette était diplômée en musique et en lettres de l’Université Laval et avait également étudié à Paris. Lorsque la nomination de son mari à la Commission des transports aériens a amené la famille à Ottawa, en 1944, elle s’est mise à participer activement à plusieurs activités bénévoles, devenant notamment la fondatrice de la Société d’étude et de conférences d’Ottawa, en 1946. Elle est devenue membre de l’Alliance française d’Ottawa en 1949, puis présidente en 1951. Surnommée « la mère de l’aviation canadienne » pour ses nombreux articles sur l’aviation au Canada et ses six années consacrées à la section des documents historiques de l’Aviation royale canadienne, elle a été reçue membre honoraire de l’escadron no 425 (l’escadron Alouette) en 1953. Georgette Vachon a publié un livre intitulé Goggles, Helmets and Airmail Stamps en 1974, ainsi que plusieurs autres feuillets historiques. Elle est décédée le 7 février 1987.

Famille Richards
Famille · 1841 -

Le canton Grattan du comté Renfrew, en Ontario, a été arpenté et colonisé dans les années 1850. Les premiers colons avaient besoin d’une scierie pour le bois d’œuvre, et la première fut construite en 1855 par Duncan Ferguson et Donald Cameron, sur le ruisseau Constant qui coule du lac Constant. La petite agglomération qui a grandi autour de la scierie a reçu le nom de Balaclava en honneur de la bataille de la guerre de Crimée. Dans les années 1860, il y a eu deux hôtels (appelés plus tard des pensions) et un magasin général qui appartenait à Joseph Legree. En 1868, la scierie a été achetée par William Richards (1841-1908) pour la somme de 1 325 $. La scierie Richards coupait du bois résineux et du bois dur pour les besoins locaux et pour le marché commercial plus vaste. Il est possible que William Richards ait acheté le magasin général en 1896.

En 1896, le barrage en bois à Balaclava a cédé, déversant de la sciure et d’autres débris de bois en aval. Au cours des années 1903-1904, les roues hydrauliques de la scierie ont été remplacées par des turbines hydrauliques plus efficaces, et un brûleur de résidus de bois a été installé pour éliminer la sciure. Toutefois, en 1911, William Hunter, qui possédait un moulin à broyer 2 km en aval, a intenté une poursuite contre Richards pour les déchets de bois qui obstruaient ses équipements. Hunter a obtenu 200 $ en dommages et intérêts, et Richards a reçu l’ordre de cesser de polluer le ruisseau avec ses déchets de bois. Ce fut une des premières causes liées à l’environnement en Ontario.

En 1900, le nom de la compagnie est devenu « William Richards and Son » lorsque le fils de William, Harry Richards (1875-1938), est devenu un associé. Après le mort de William Richards, en 1908, la compagnie a été rebaptisée pour devenir la H. Richards. À cette époque, la compagnie vendait ses produits à des grossistes de Montréal et de Toronto, et avait obtenu de gros contrats avec les chemins de fers canadiens pour l’approvisionnement en traverses. En 1936, un incendie a lourdement endommagé la scierie, laquelle a toutefois été rapidement reconstruite. Harry Richards est décédé deux ans plus tard, et son fils, William (Bill) Richards (1899-1967), a pris la relève à la scierie et au magasin général. Au fil du temps, les quantités de bois se sont épuisées, et les activités de la scierie ont peu à peu ralenti. En 1957, la scierie a été achetée par David Dick. Les activités se sont poursuivies, et en 1967, elle a été reconnue comme étant la dernière scierie fonctionnant à l’eau en Ontario.

Des membres de la famille Richards ont occupé des postes à la commission scolaire publique des cantons de Grattan et Brougham à divers moments, et ont siégé au conseil de la société Brougham and Grattan Telephone Co.

Ewing, Burke J.
Personne · 1908-

J. Burke Ewing est né en 1908, à Westport (Ontario). Il a étudié la médecine à l'université Queen's. Durant sa carrière médicale, il a été "Clinical tutor" et "Senior house officer" en chirurgie à l'Université d'Edinbourg et à l'Hôpital d'Edinbourg West. Il a aussi été professeur et doyen du Département de chirurgie de l'Université de 1948 à 1974, il détenait au même moment le poste de chirurgien en chef à l'Hôpital.

Emmons, D.B.
Personne · 1930-05-23 - 2017-05-29

Douglas B. EMMONS (1930-2017), scientifique laitier, chercheur scientifique, Ottawa (Ontario).

Douglas Byron Emmons est né dans le comté de Hastings, en Ontario, le 23 mai 1930. Il a obtenu son baccalauréat ès sciences en agriculture au Collège d’agriculture de l’Ontario en 1952, puis sa maîtrise et son doctorat à l’Université du Wisconsin en 1953 et 1957, respectivement. Il a intégré l’Institut de recherche en technologie laitière du ministère canadien de l’Agriculture à Ottawa en 1958. Il a dirigé le programme de technologie laitière de 1963 à 1973, et a travaillé à l’Institut de recherche sur les aliments à partir de 1974. En 1995, il est devenu chercheur émérite à la Direction générale de la recherche d’Agriculture Canada.

Doug Emmons a reçu le prix Paul-Lewis de Pfizer en recherche sur le fromage de l’American Dairy Science Association en 1963, et a été le premier Canadien à recevoir le prix Borden, en 1994. Il a également reçu le prix William J. Eva de l’Institut canadien de science et technologie alimentaires en 1981, et un prix de recherche de l’American Cultured Dairy Products Institute en 1993. Il a été le délégué canadien au congrès annuel de la Fédération internationale du lait à partir de 1971, et président de son comité national canadien, de 1975 à 1992. Il a été rédacteur adjoint puis rédacteur en chef au Journal of Dairy Science, de 1992 à 1995.

Douglas B. Emmons est décédé à Ottawa le 29 mai 2017, à l’âge de 87 ans.

Éditions du Vermillon
Collectivité · décembre 1982

Les Éditions du Vermillon. Maison d'édition fondée en décembre 1982, à Ottawa, par l'auteur et traducteur Jacques Flamand et Monique Bertoli, qui occupent respectivement les postes de directeur littéraire et de directrice générale. Les Éditions du Vermillon sont une société constituée, sans but lucratif, ayant une charte fédérale et le statut d'organisme de bienfaisance. Le siège social est situé au 305, rue Saint-Patrick à Ottawa. Structure et ressources : conseil d'administration de 7 membres (2006), direction générale et direction littéraire (bénévoles), 2 employés à temps complet et 3 employés à temps partiel (2006). Les Éditions du Vermillon « ont pour mandat de favoriser l'avancement de l'éducation dans le domaine de la littérature canadienne, notamment franco-ontarienne, par la publication, sous forme d'imprimés, de livres ou autres, ou autres médiums, de manuscrits d'auteurs prioritairement canadiens, notamment franco-ontariens; de faire la promotion des œuvres à l'échelle locale, régionale, nationale et internationale; d'assurer les services connexes : conseil et orientation pédagogiques, littéraires et techniques fournis aux auteurs, débutants et auteurs reconnus, et au public intéressé; de collaborer, dans une perspective d'animation et de développement communautaires, multidisciplinaires et multiculturels, avec les auteurs et avec les créateurs des autres disciplines artistiques, avec les organismes et établissements culturels, et avec le public, à l'organisation d'activités littéraires, artistiques, culturelles.» De 1993 à 1999, les Éditions du Vermillon ont publié vingt-huit numéros de la revue de poésie Envol. Elles ont publié à ce jour (2006) deux cent quatre-vingt titres répartis dans les collections suivantes : Les Cahiers du Vermillon (collectifs); Romans, dont la Série jeunesse; L'aventure (romans); Parole vivante (poésie, récits, nouvelles, contes); Rameau de ciel (poésie); Pour enfants; Soleil des héros (bandes dessinées historiques); Paedagogus (pédagogie, didactique); Visages (monographies); Essais et recherches; Langue et communication; Rompol (nouvelles et romans policiers); Les inédits de l'école flamande (collectifs); Transvoix (œuvres traduites et présentées en version bilingue); Science (œuvres littéraires mettant en valeur des concepts scientifiques); Portraits (destinée à faire connaître des auteurs canadiens). Les Éditions du Vermillon ne se cantonnent dans aucune catégorie, publiant romans, poésies, albums, biographies, contes et récits, essais et études, manuels et outils pédagogiques, et théâtre. Un examen du catalogue démontre qu'elles publient davantage de romans (pour enfants, adolescents et adultes, et en tous genres, policier et roman historique inclus). Les Éditions du Vermillon ont publié et publient des auteurs des deux rives de l'Outaouais, notamment : Jean-François Somain, Jean-Louis Grosmaire, Françoise Lepage, Jean-Louis Trudel, Cécile Cloutier, Pierre-Raphaël Pelletier, Stéphane-Albert Boulais, Andrée Lacelle, Jacques Michaud, Eddy Garnier, Gabrielle Poulin, Hédi Bouraoui et Hélène Brodeur. Elles ont aussi fait paraître des biographies (notamment Jean Desprez par François-Xavier Simard et André Larose) et des documents (notamment le Journal du père Dominique du Ranquet s.j. par Fernand Ouellet et René Dionne), de même que des essais et des ouvrages de référence, en particulier dans le domaine des études littéraires (voir les bibliographie, anthologie et histoire de la littérature franco-ontarienne de René Dionne). Dix-neuf livres publiés par les Éditions du Vermillon ont été lauréats de prix littéraires, dont le Prix Trillium (1995, 2000 et 2001) et le Prix littéraire Le Droit 2001. Jacques Flamand s'est vu décerné en 2002, le Prix du Consulat général de France à Toronto pour sa contribution au rayonnement de la littérature francophone en Ontario et Didier Leclerc (Prix Trillium 2001) a été finaliste au Prix du Gouverneur général en 2004 pour son livre Ce pays qui est le mien.

Sources : Vermillon [site Web], http://www.livres-disques.ca/editions_vermillon/home/index.cfm (consulté en avril 2007); Les Éditions du Vermillon, Profil de la maison d'édition [et] Bref historique [renseignements rassemblés à l'intention du CRCCF en 2006].

Éditions du Nordir
Collectivité · 1988 -

Les Éditions du Nordir. Maison d'édition fondée en 1988, à Hearst, par l'auteur Robert Yergeau, alors professeur au Collège universitaire de Hearst (aujourd'hui Université de Hearst), qui depuis la fondation en assure la direction générale. Les Éditions du Nordir, entreprise à but lucratif, a été incorporée le 20 décembre 1988 ; maison d'édition sans but lucratif, 1996. Le siège social est situé au Département de français de l'Université d'Ottawa, 60 rue Université à Ottawa. Structure et ressources : conseil d'administration de 2 membres (2007) et une direction générale. Les Éditions du Nordir ont pour mandat « de publier des hommes et des femmes qui écrivent en français en Ontario ou dont les livres portent sur un aspect ou l'autre de l'Ontario. Le Nordir a, dès le début, privilégié deux avenues : la création et la réflexion. » En 1991, les Éditions du Nordir ont reçu leurs premières subventions des conseils de arts de l'Ontario et du Canada ; première subvention de Patrimoine Canada dans le cadre du programme « Padié », 1998 ; première subvention de la Ville d'Ottawa, 2001. En 1998, elles soulignent leur dixième anniversaire par la publication d'une anthologie Le Nordir. Dix ans de création et de réflexion en Ontario français, 1988-1998, choix de textes par Robert Yergeau. De 1988 à 1990, les Éditions du Nordir ont publié la revue de création et de réflexion Athmosphères fondée par Robert Yergeau faisant paraître 4 numéros, et de 1998 à 2000, les Cahiers Éthier-Blais, consacrés à l'écrivain Jean-Éthier Blais, faisant paraître 3 numéros. À ce jour, Le Nordir a publié près de 150 livres répartis dans les collections suivantes : Rémanence (roman, nouvelle et récit); Résonance (poésie); Rappel (théâtre); Roger-Bernard (essai), ainsi nommée en hommage à ce sociologue, dont le manuscrit De Québécois à Ontarois fut à l'origine de la fondation du Nordir, et dont les travaux ont marqué la vie intellectuelle canadienne-française. Il est décédé en juillet 2000, à l'âge de 55 ans; Actes premiers (auteur de moins de 30 ans ou auteur d'un premier livre); Père Charles-Charlebois (ouvrages écrits par des journalistes ou portant sur des sujets liés aux médias), ainsi nommée en hommage au fondateur du journal Le Droit d'Ottawa; BCF (Bibliothèque canadienne-française), dont l'objectif est de rendre disponibles à coût modique des œuvres importantes de la littérature canadienne-française; Débats actuels (sujets d'actualité). Les Éditions du Nordir ont publié et publient, notamment, les auteurs suivants : François Paré, lucie Hotte, Annette Hayward, Stefan Psenak, Andrée Christensen, Daniel Poliquin, Aurélie Resch, Margaret Michèle Cook, Pierre Raphaël Pelletier, Pierre-Paul Cormier, Paul-François Sylvestre, Denis Gratton, Roger Bernard, Linda Cardinal, Danielle Coulombe, Marco Dubé, Anne Gilbert, Yolande Grisé, Herménégilde Chiasson, Daniel Marchildon, Évelyne Voldeng, Doric Germain, Michel Ouellette, Patrick Leroux, Richard léger, Hélène Beauchamp, Joël Beddows et Robert Yergeau. Plusieurs livres publiés par les Éditions du Nordir ont été lauréats de prix littéraires, dont le prix du journal Le Droit pour Le travail et l'espoir de Roger Bernard, 1992 ; le prix Omer-Legault, 1988, pour De Québécois à Ontarois de Roger Bernard, 1993, pour Témoins d'errances en Ontario français de Fernand Dorais ; le prix de la Municipalité régionale d'Ottawa-Carleton, 1993, pour Petites fugues pour une saison sèche de Gabrielle Poulin, 1999, pour Il faut crier l'injure de Pierre Raphaël Pelletier (qui remporte également le prix du salon du livre de Toronto la même année) ; le prix du Gouverneur général du Canada, 1993, dans la catégorie « essai », pour Les littératures de l'exiguïté de François Paré, 1994, dans la catégorie « théâtre », pour French Town de Michel Ouellette, 2007, catégorie « études et essais », pour La querelle du régionalisme au Québec (1904-1931) d'Annette Hayward (également Prix Gabrielle-Roy la même année) ; le prix Émile-Nelligan, 1995, pour Les jours sont trop longs pour se mentir de Marlène Belley ; le prix Odyssée, dans la catégorie « théâtre», 2002, pour La fuite comme un voyage de Stefan Psenak ; le prix Trillium, 2003, pour Faux-fuyants, poésie, d'Éric Charlebois et Le testament du couturier théâtre, de Michel Ouellette, 2004, pour La distance habitée de François Paré (également Prix Victor-Barbeau de l'Académie des lettres du Québec, la même année). Sources : dossier d'offre de don.

Dupuis, Albert
Personne

Dupuis, Albert. Résidant de Mattice (Ont.). Source : Dossiers administratifs CRCCF.

Dundas, Barbara, 1971-
Personne · 1971-

Barbara Dundas a reçut sa maîtrise en Histoire publique de l’Université de Waterloo. Elle a travaillé à de nombreux musées ainsi qu’avec la Direction – Histoire et patrimoine du Ministère de la Défense nationale. Elle est l’auteure du livre “Les femmes dans le patrimoine militaire canadien” et co-auteure de « The Canadian Women’s Army Corps, 1941-1946 » avec Serge Durflinger, PHd.

Dumont-Bayliss, Pauline
Personne · fl.1988-1991

De janvier 1988 jusqu'en août 1991, le Lieutenant Pauline Dumont-Bayliss était employée au Service historique du Ministère de la Défense nationale. Elle a élaboré une recherche au sujet du rôle des Canadiens dans la mission de maintien de la paix de l'ONU au Congo de 1960 à 1964.

Personne · 1929-

William Alexander Binny Douglas (1929 est un auteur en histoire navale et de l’aviation. Né en Rhodésie du Sud, il étudie en Angleterre et au Canada. Entre 1940 et 1943, il reste au Canada en tant qu’hôte de guerre. Il retourne au Canada en 1947 et étudie à l’Université de Toronto où il obtient un baccalauréat en histoire moderne en 1951. Il joint le University Naval Training Division en 1947 avant d’entrer dans la Marine royale canadienne en 1950. Après avoir servi sur plusieurs navires entre 1954 et 1964, il est nommé officier naval d’état-major au Collège militaire royal de Kingston et professeur associé en études militaires. En 1967, il est affecté au Quartier général des Forces canadiennes (QGFC) où il devient historien à la direction du Service historique. Il est promu commandant et ensuite nommé historien sénior en 1970, puis directeur et directeur général. Avec sa maîtrise de l’Université Dalhousie à Halifax et son doctorat de l’Université Queen’s à Kingston, il a publié des articles sur l’histoire navale et de l’aviation au Canada, en Angleterre et au États-Unis. En 1994, alors qu’il est directeur général, il prend sa retraite mais poursuit ses recherches en histoire navale. En septembre 2001, Le docteur Douglas a accepté un poste d’enseignement à l’Université Duke à Durham en Caroline du Nord.

Douglas, Althea, 1926-2018
Personne · 1926-12-25 – 2018-10-21

Althea Cleveland Douglas (née McCoy) est née le 25 décembre 1926 à Moncton (Nouveau-Brunswick, Canada). Ses parents étaient George Thomas E. McCoy, un cadre pour le chemin de fer, et Anne Robinson (Chapman) McCoy. La famille est allée s’établir à Toronto, Ontario, et Althea Cleveland Douglas a obtenu son immatriculation supérieure à la Bransome Hall School, avant d’aller à Montréal, Québec, pour étudier à l’Université McGill. Ses études ont compris un baccalauréat ès sciences en mathématiques, en physique et en production dramatique, un baccalauréat ès arts en anglais et en littérature dramatique, et d’autres cours en français, en archives et gestion de documents, et en histoire. Elle a marié J. Creighton Douglas en 1948. Elle a travaillé comme créatrice de costumes pendant dix ans à Montréal et à New York avant de devenir chargée de cours au département d’anglais de l’Université McGill, de 1947 à 1959, rédactrice de recherche pour le projet « Burney » au même département à partir de 1960, et archiviste pour la collection Penfield à l’institut neurologique de McGill, de 1978 à 1981. Elle a déménagé à Toronto en 1982 lorsque son mari a commencé à travailler pour la société IMAX, et elle a fondé son propre cabinet appelé Althea Douglas Consultants où elle a travaillé comme chercheuse, rédactrice et autrice autonome. Elle a également travaillé à IMAX pendant trois mois, à titre de conseillère à temps partiel, pour la rédaction de quatre manuels de normes. Comme chaque pays hôte avait son propre contexte technologique, chaque salle de cinéma IMAX avait besoin de son propre manuel spécialisé. En 1985, elle avait rédigé 20 manuels et avait appris à utiliser AUTOCAD de manière à pouvoir rationaliser la démarche de conception et créer des manuels faciles à mettre à jour. Ses projets les plus notables comprennent la révision du manuel Design Facts (for IMAX and OMNIMAX Theatres) et la rédaction de Design Considerations for an IMAX Theatre et Design Considerations for an OMNIMAX Theatre (première édition vers 1987; deuxième édition vers 1991). Son travail à IMAX l’a amenée à voyager au Mexique, au Japon, en Europe et au Nigeria. Dans ses temps libres, elle a obtenu la désignation « C.G.(C) » en généalogie du Genealogical Institute of the Maritimes en 1989, et a travaillé au siège national de Guides du Canada pour y établir un système d’organisation des archives – une base de données pour le catalogage –, et produire des instruments de recherche numériques. Elle a fermé son entreprise en 1991, puis a déménagé à Ottawa, Ontario, où elle a travaillé comme généalogiste professionnelle. Elle a signé ou cosigné plusieurs publications, dont A Catalogue of the Burney Family Correspondence 1749-1878 (avec Joyce Hemlow et J.M.M. Burgess), Canadian Railway Records: A Guide for Genealogists (avec J. Creighton Douglas) (plus une révision et une expansion), ainsi que plusieurs articles dans des revues spécialisées sur la généalogie. Elle a été membre de l’Association of Canadian Archivists, de l’Association of Professional Genealogists (aux États-Unis), de la Society of Genealogists (en Angleterre), de l’Ontario Genealogical Society, de la Société généalogique du Nouveau-Brunswick, et du Toronto Area Archivists Group. Elle a gagné un prix (catégories 6 et 7) et des subventions du Conseil canadien entre 1961 et 1965.

Dornic, Isabelle
Personne · fl.1998

Isabelle Dornic a été entrepreneure pour la Direction - Histoire et patrimoine.

Doerr, John W.
Personne · 1949-

John W. Doerr (1949- ), fils de Mervin Doerr et Dorothy Ward, né à Stratford, Ontario, est musicien, membre de CANO musique, et un des fondateurs de Majoma music.

Lorsqu’il était à l’école secondaire, Doerr a été membre d’un certain nombre de groupes musicaux, jouant de la guitare basse et du trombone. Le répertoire musical comprenait la musique des Beatles, des Rolling Stones et aussi Herb Alpert & the Tijuana Brass. Après avoir gradué à York University en psychologie et en Beaux-Arts avec spécialisation en musique, John a déménagé à Sudbury pour se joindre aux premières répétitions du groupe CANO musique. Il avait rencontré Rachel Paiement et David Burt lorsqu’il jouait à Morgan, un populaire salon-bar pour les groupes de musique, en Ontario. Ils l’ont introduit à André Paiement dont la vision d’une coopérative musicale était suffisante pour que Doerr déménage à Sudbury.

En 1975, la coopérative CANO musique a été fondée. En tant que membre, Doerr a joué du trombone, de la basse électrique et du synthétiseur, et tant que musicien il a aussi composé et fait des arrangements musicaux. Pour ne nommer que quelques-unes de ses compositions, mentionnons entre-autres ‘En mouvement’ une composition collective, ‘Au nord de notre vie’, ‘Partons’ (paroles de M.Aymar et M. Kendel), et ‘Mime Artist’ ( paroles de M.Aymar et M. Kendel).

Après le décès d’André Paiement en janvier 1978, John a pris la responsabilité des tâches reliées à la comptabilité. Avec Gary McGoarty, il est devenu la personne-contact pour les aspects financiers des différents services offerts par le groupe. À ce titre, il a accumulé et compilé différents documents financiers et a aussi aidé à la préparation de soumissions pour différents contrats tel que pour la production d’albums, sessions d’enregistrements, musique ou encore pour des tournées.

En 1982, John Doerr et Marcel Aymar (sous CANO Productions) ont composé des thèmes musicaux pour des programmes télévisés tel que : Great Movies (CityTV), Légalement parlant (TFO) et Transit 30/50 (TFO & ONF).

Puis en 1988, avec Aymar et Marc Cholette, producteur et compositeur, Doerr a fondé Majoma music. Majoma se spécialise dans la composition et production de musique pour la télévision et pour des films. Ils ont produit de la musique pour des émissions de sports tel que : Hockey Night In Canada (CBC), the CBC Olympics coverage et CBC Corporate Sports package. Pour la télévision: Kids Adventure (TFO), Marketplace et The National (CBC), et aussi pour des films : Le Secret de Jérome (TVA/ONF), The Stork Derby (CTV), et Metallos Blues (ONF).

Le groupe CANO musique a été officiellement actif de 1975 à 1985 mais depuis CANO a joué à différents évènements (La Nuit sur l’étang, Northern Light Festival Boréal), et a publié une compilation de ses albums. John Doerr participe encore à différents évènements spéciaux et se joint à Marcel Aymar à plusieurs de ses concerts.

John Doerr vit à Toronto avec sa femme Jocelyne.