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Personne/organisation
H.K. Porter Company
Collectivité · 1866-1991

La H.K. Porter Company était autrefois le plus grand fabricant de locomotives industrielles et à voie étroite en Amérique du Nord. Henry K. Porter a fondé un atelier d’usinage avec John Y. Smith à Pittsburgh, en Pennsylvanie, en 1866. Ils ont construit leur première locomotive en 1867, sous le nom « Smith and Porter ». Un incendie a détruit l’usine en 1871, après quoi Smith est allé à Connellsville, en Pennsylvanie, pour lancer une nouvelle entreprise. Arthur W. Bell s’est associé à Porter pour former la Porter, Bell & Company. À la mort de Bell, en 1878, la compagnie a été restructurée et est devenue la H.K. Porter Company. Elle a été constituée en société en 1899, et une nouvelle usine a ouvert ses portes l’année suivante. Henry Porter est décédé en 1921. La H.K. Porter Company a commencé à fabriquer des locomotives au diesel et à essence lorsque les ventes de locomotives à vapeur se sont mises à diminuer, mais s’est vue obligée de déclarer faillite à la fin des années 1930, à cause de la baisse de la demande pendant la dépression économique. Thomas M. Evans, le plus important détenteur d’obligations de l’entreprise, est devenu président suivant une restructuration de la société en 1939. Il a diversifié la production de la société qui s’est alors lancée dans la fabrication d’acier, de matériaux de construction et de quincaillerie, avant de faire la transition vers une société de portefeuille et de vendre ses actifs ferroviaires à la société Davenport-Besler, en 1950. La dernière locomotive de la H.K. Porter Company a quitté l’usine en 1951. Davenport-Besler était censée offrir des services d’entretien pour les locomotives Porter en service et fabriquer des doubles de ces dernières. Or, Davenport-Besler a été vendue à la Canadian Locomotive Company en 1955.

H.K. Porter Inc. a continué de produire de l’équipement et des outils industriels par le biais de ses diverses divisions et filiales. Toutefois, l’utilisation d’aimante dans ses locomotives et autres produits a donné lieu à des poursuites de la part d’employés ayant souffert d’effets à long terme sur leur santé. La société a déclaré faillite en vertu du chapitre 11 de la loi américaine en 1991, mais, conformément à son plan de restructuration, elle est devenue la H.K. Porter Asbestos Trust en 1998 pour régler, liquider, et payer toutes les créances pour lesquelles elle était légalement responsable. La marque H.K. Porter existe toujours, et est détenue par le fabricant d’outils manuels et électriques Apex Tool Group.

Henrie, Maurice
Personne · 12 décembre 1936 –

Henrie, Maurice. Auteur et haut-fonctionnaire. Rockland Est (Ontario), 12 décembre 1936 – . Université d’Ottawa, études classiques (Petit séminaire d’Ottawa), B.A., 1958, M.A. (arts et lettres; thèse « La nature chez Albert Camus »), 1962, Ph. D. (lettres et philosophie; thèse « L’acte gratuit chez André Gide »), 1969. Université de Toronto, diplôme en pédagogie, 1959. Enseignant du théâtre et des langues, écoles secondaires, Université de Toronto, 1959-1961; Université d’Ottawa et Université Carleton, professeur à temps partiel, 1955-1964. Gouvernement du Canada : professeur de langues (École de la fonction publique); dans divers ministères, conseiller en bilinguisme (Affaires étrangères), 1968 –1970; adjoint au bureau du sous-ministre (Secrétariat d'État), 1969 – 1972; chef de service, Direction des études spéciales (Bureau du Commissaire aux langues officielles), 1972 – 1975; chef de la Division des relations fédérales-provinciales et de la Division des affaires intergouvernementales (Environnement Canada), 1975 – 1976; directeur, Division des ressources et des finances (Bureau des relations fédérales-provinciales), 1976 – 1980; directeur adjoint, Développement des ressources et des régions (Développement économique et régional), 1980 – 1981; conseiller supérieur en politiques (Secrétariat du Conseil du Trésor), 1981 – 1988; conseiller supérieur au bureau du sous-ministre (Bibliothèque nationale), 1988 – 1991. Publications : La Chambre à mourir, nouvelles, Québec, L'instant même, 1988 (Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton et finaliste pour le Prix Trillium); La Vie secrète des grands bureaucrates, humour satirique sur la haute bureaucratie, Hull, Asticou, 1989; The Mandarin Syndrome (traduction anglaise du livre précédent), Presses de l'Université d'Ottawa, 1990 (finaliste pour le prix Stephen Leacock); Le Petit Monde des grands bureaucrates, humour sur la haute bureaucratie canadienne, Boucherville, Éditions de Mortagne, 1992; Le Pont sur le temps, nouvelles, Sudbury, Prise de Parole, 1992 (Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton); Le Balcon dans le ciel, roman, Sudbury, Prise de parole, 1995 (Grand Prix du Salon du livre de Toronto, Prix Trillium et Prix de la municipalité d’Ottawa-Carleton); La Savoyane, nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 1996; Fleurs d'hiver, essais et nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 1998; Une ville lointaine, roman, Québec, L'instant même, 2001 (Prix des lecteurs Radio-Canada 2002 et finaliste pour le Prix du livre d'Ottawa, 2003); Mémoire vive, nouvelles, Québec, L'instant même, 2003 (Prix du livre d'Ottawa, création, 2004 et Prix littéraire Le Droit, 2005); Les roses et le verglas, nouvelles, Sudbury, Prise de parole, 2004 (Prix du livre d'Ottawa, création, 2005, finaliste pour le Prix Trillium et finaliste pour le Prix des lecteurs Radio-Canada 2005); Le Chuchotement des étoiles, roman, Sudbury, Prise de parole, 2007 (finaliste pour le Grand Prix du Salon du livre de Toronto, le Prix littéraire Le Droit et le Prix du livre d'Ottawa); Esprit de sel, carnets littéraires, Sudbury, Prise de parole, 2008 (Prix du livre d'Ottawa, non-fiction, 2009 et finaliste pour le Prix Émile-Ollivier, 2009); Le jour qui tombe, nouvelles, Ottawa, L'Interligne, 2009; L’enfanCement, Sudbury, Prise de parole, 2011; Petites pierres blanches, fiction, Éditions David, 2012 (Prix littéraire Le Droit 2013). Sources : curriculum vitae de Maurice Henrie; [sites Web consultés octobre 2013] L’Express, semaine 12 décembre au 18 décembre 2006,http://www.lexpress.to/archives/1030/, http://felix.cyberscol.qc.ca/LQ/auteurH/henri_m/henrie.html, http://www.instantmeme.com/ebi-addins/im/ViewAuthor.aspx?id=368.

Hawker Siddeley Canada Limited
Collectivité · 1962-05-01 – 2004-12-22

A.V. Roe Canada Limited a été constituée en société le 1er septembre 1945, et a pris en charge les infrastructures et les opérations de la société Victory Aircraft Limited. Située à Malton, en Ontario, Victory était une société d’État qui a fabriqué des bombardiers Avro Lancaster jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale. A.V. Roe Canada travaillait avec le gouvernement canadien à convertir l’infrastructure et l’expertise de temps de guerre de Victory en activités de fabrication d’avions commerciaux et militaires d’après-guerre. En 1946, A.V. Roe Canada a acquis une autre société d’État, Turbo Research Limited, qui concevait des moteurs à réaction. A.V. Roe Canada détenait alors deux divisions : une division aéronautique située à Malton, en Ontario, et une division de turbines à gaz, située à Malton et Nobel, Ontario. En 1955, les deux divisions sont devenues deux filiales distinctes de la société de portefeuille A.V. Roe : Avro Aircraft Limited et Orenda Engines Limited. A.V. Roe Canada a continué d’acheter des filiales tout au long des années 1950.

A.V. Roe Canada elle-même était une filiale en propriété exclusive du Hawker-Siddeley Group dont le siège était au Royaume-Uni. Étant redevable envers sa société mère britannique, A.V. Roe Canada jouissait toutefois d’une certaine indépendance en raison de la distance et de sa taille (en 1956-1957, 45 % de toutes les activités commerciales mondiales de Hawker Siddeley avaient lieu au Canada). L’entreprise ne relevait pas d’Avro (au R.-U.), mais plutôt directement de Hawker-Siddeley. Lorsqu’A.V. Roe Canada a fait l’acquisition de la Dominion Steel and Coal Corporation en 1956, 44 sociétés étaient chapeautées par la société de portefeuille. Comptant 300 employés en 1945, A.V. Roe Canada employait 20 000 personnes en 1957.

A.V. Roe Canada est principalement connue pour la conception et la fabrication de trois types d’aéronefs. L’Avro CF-100, un chasseur à réaction tout temps, a fait beaucoup de service au Canada et en Europe, utilisé par l’Aviation royale canadienne (ARC) et la Force aérienne belge. Le CF-100 est le seul avion de chasse de conception canadienne à avoir été fabriqué en série. Le 19 août 1949, l’avion de ligne à réaction C-102 d’Avro Canada a été le deuxième avion de passagers à prendre son envol (13 jours après le premier), mais le premier à voler en Amérique du Nord. L’aéronef était en avance sur son temps à plusieurs égards, mais il n’a jamais été mis en production car de plus en plus de ressources de la société étaient consacrées au CF 100. Le CF-105 Arrow a été le troisième modèle en importance d'Avro Canada, un projet très ambitieux qui visait à combiner une nouvelle cellule supersonique (Mach 2+), les moteurs Orenda Iroquois nouvellement conçus, les nouveaux missiles air-air (de Douglas Sparrow) et un nouveau système électronique intégré (RCA Astra), le tout pour former une plateforme d’armes de pointe en matière de défense aérienne. Le 20 février 1959, le gouvernement du Canada a mis fin au projet Arrow pour des raisons techniques, financières, politiques et militaires – une décision qui reste controversée aujourd’hui. Plus de 14 000 employés d’Avro Canada ont perdu leur emploi. A.V. Roe Canada a alors pris des mesures pour réduire sa dépendance non viable aux activités de construction aéronautique et au marché de la défense. Elle s’est entièrement consacrée à la poursuite du projet de conception de bancs d’essai Avrocar pour l'armée américaine, jusqu’à l’annulation du projet en 1961. Orenda Engines a créé la filiale Orenda Industrial Limited qui vendait et réparait des moteurs diesel et des turbines industrielles. Hawker Siddeley a acheté la société de Havilland à la fin de 1959, y compris la compagnie de Havilland Canada (DHC). Les volets non strictement liés à l’aviation d’A.V. Roe Canada ont été renommés Hawker Siddeley Canada Limited le 1er mai 1962. Les activités d’aéronautique ont été transférées à DHC le 27 juillet 1962.

Hawker Siddeley Canada a vendu 40 % d’Orenda Engines, en 1966, à l’United Aircraft Corporation, la société mère de la United Aircraft of Canada Limited, devenue aujourd’hui Pratt & Whitney Canada. Orenda fabriquait des pièces pour les moteurs à réaction de United Aircraft. Néanmoins, en 1973, Hawker Siddeley Canada a racheté Orenda. Outre Orenda Engines, Hawker Siddeley Canada a compté de nombreuses filiales et divisions au fil du temps, y compris les Chantiers maritimes Halifax limitée, Canadian Steel Foundries, la Canadian Car and Foundry, la Dominion Steel and Coal Corporation, la Canadian General Transit (wagons/voitures ferroviaires), A-R Technologies Inc. (réparation et révision de moteurs d’avion), la Kockums Cancar (matériel de scierie), la Canadian Steel Wheel et plusieurs autres entreprises industrielles et d’ingénierie. En 1977, le gouvernement britannique a nationalisé les activités liées aux armes, à l’aviation et à l’espace de Hawker Siddeley Group. Hawker Siddeley Canada a vendu le reste de ses actifs au moyen d’une série de transactions au début des années 1990, puis a complètement cessé ses activités en 1996, lorsqu’elle a vendu ses derniers intérêts, y compris Orenda Engines, à la Magellan Aerospace Corporation. Hawker Siddeley Canada a continué d’exister en tant que coquille vide jusqu’à sa dissolution à titre de société fédérale, le 22 décembre 2004.

Harris, Stephen John
Personne · 1948-

Stephen John Harris (1948-), actuel directeur du programme historique, travaille depuis 1979 au Service historique (Direction - Histoire et patrimoine). En 1969, il a reçu son baccalauréat en anglais et en histoire de l'Université MacMaster. Un an plus tard, il recevait sa maîtrise en histoire. De 1970 à 1974, il enseigna l'histoire militaire à l'école de perfectionnement professionel du Collège des Forces canadiennes. En 1974, il entreprit ses études doctorales à l'Université Duke à Durham, en Caroline du Nord, et les compléta en 1979. Le docteur Harris s'est joint au Service historique en 1979 et, de 1980 à 1994, il a fait partie de l'équipe de rédaction de l'histoire officielle de l'ARC. Il a également publié plusieurs articles sur l’aviation militaire et l’armée. Depuis 1996, il est historien en chef à la Direction - Histoire et patrimoine.

Harris, Les, 1947-
Personne · 1947-01-04 -

Leslie Philip Harris, plus souvent appelé Les Harris, est né le 4 janvier 1947, en Angleterre. Il a commencé sa carrière en 1967 en tant que journaliste local pour la BBC Radio Sheffield, alors qu’il fréquentait toujours l’Université de Sheffield. Il a été admis à titre de stagiaire au cours de montage de film de la BBC à Londres, en 1968. Il est devenu monteur adjoint puis monteur à la chaîne BBC TV avant de quitter la société en 1972. La même année, il a établi l’entreprise Leshar Films afin de réaliser ses projets de montage et de réalisation cinématographiques, ainsi que Leshar Film Sales Limited, une société de distribution (vers la télédiffusion). C’est à cette époque qu’il a commencé à travailler sur son documentaire Chabot Solo part 1: 1914-1918 portant sur l’aviateur pionnier Charles Chabot. Ce documentaire et ses deux suites, Chabot Solo part 2: 1918-1939 et Chabot Solo part 3: 1939-1975, ont été télédiffusés dans le monde entier pendant une courte période de temps, de 1974 à 1975. La BBC était le diffuseur principal. La troisième partie du documentaire a principalement été tournée à Terre-Neuve, et tout le travail de postproduction a été fait au Canada. Peu après, Les Harris a fondé la compagnie Canamedia Productions Limited pour pouvoir effectuer du travail indépendant au Canada. Lorsqu’il a immigré à Toronto, en 1976, il a accepté un contrat d’un an pour la réalisation et la production de l’émission Country Canada pour les services de l’agriculture et des ressources naturelles de la CBC. Le réseau CTV a ensuite recruté Canamedia pour l’émission W5 en tant que producteur principal sur le terrain; Harris a ainsi fait des reportages sur une grande variété de sujets, et produit des émissions pour les animateurs Henry Champ, Jim Reed et Helen Hutchinson. C’est pendant cette période qu’il a produit un reportage sur l’aéronef amphibie canadien nouvellement homologué, le Trident TriGull. Harris a quitté le réseau CTV afin de travailler sur son documentaire Escape from Iran: The Inside Story, puis sur le téléfilm Escape from Iran: The Canadian Caper. Diffusé simultanément au Canada et aux États-Unis en 1981, Caper a été le premier téléfilm canadien commandé par un réseau américain (CBS) pour les heures de grande écoute. Harris a ensuite lutté pour la reconnaissance de Pat Taylor, l’épouse de l’ambassadeur Ken Taylor, et de Zena Sheardown, l’épouse de l’agent d’immigration principal John Sheardown, pour avoir hébergé des otages américains à Téhéran. Les deux femmes ont finalement été reçues dans l’Ordre du Canada. À part quelques rares exceptions, Les Harris a presque exclusivement travaillé sur des projets de Canamedia, remportant plusieurs prix dont le George Foster Peabody Award pour son documentaire Threads of Hope, un prix Rocky du Banff TV Festival, les médailles d’or et d’argent de l’International Film and TV Festival of New York, trois prix Gémeaux, le prix de la meilleure production de l’année de l’Association canadienne de production de films et de télévision, ainsi qu’une nomination pour un prix Emmy, catégorie internationale. Les Harris a notamment produit, réalisé, monté, narré et scénarisé le documentaire de 1989 Sur la peau des dents sur les pilotes de brousse canadiens, qui a gagné un prix Gémeaux, entre autres distinctions. Afin de contribuer au financement d’autres productions cinématographiques, Canamedia Productions a établi une division de distribution pour autoriser la diffusion de productions canadiennes sur les chaînes de partout dans le monde. Menée par Harris, cette société a été l’un des trois cofondateurs du réseau de télévision pour enfants YTV. Lorsque la réglementation a changé en 1998, les activités de production et de distribution de Canamedia ont dû être scindées afin de créer deux nouvelles entreprises : Canamedia Film Productions inc. et Canamedia inc. Pendant cette période, Harris a produit et réalisé le documentaire Alien Obsession pour son entreprise Canamedia Film Productions, et a produit la série Faces of a Vanishing World pour le réseau américain Ovation. Les deux entreprises ont été vendues en 2010 à la société Access Media, actuellement appelée Distribution Access. Avant la vente cependant, Les Harris a réacquis les droits de tous les films qu’il a produits pour Canamedia au fil du temps. Bien qu’il soit officiellement à la retraite, Leslie Philip Harris continue de travailler en tant que cinéaste. Il travaille actuellement sur un documentaire au Costa Rica concernant la protection d’une espèce de perroquet, l’ara de Buffon, intitulé The Ultimate Challenge: Survival of the Great Green.

Hardy, Louis-Laurent, 1918-2005
Personne · 1918-2005

Louis-Laurent Hardy, mieux connu sous le nom de Laurent Hardy, est né en 1918. Il était archiviste à Radio-Canada. Vers 1977, il a entrepris un projet qui lui tenait beaucoup à cœur, soit une étude sur Domina C. Jalbert (1904-1991), inventeur québécois et spécialiste en parachutes. Ses principales inventions comprennent le kytoon (ou ballon cerf-volant) (1943), le parachute « multi-cellules » (1952), la voilure « Multi-Cell Glide Canopy » (1962), le profil aérodynamique Jalbert (1963) et le « spinnaker Jalbert » (dans les années 1970). Au-delà de ses travaux de recherche, Hardy s’est mis à écrire à Jalbert en 1977. Les deux hommes ont entretenu cette correspondance jusqu’en 1991, date de la mort de Jalbert. Hardy s’est alors donné comme mission de faire connaître les réalisations de Jalbert en publiant des articles et en écrivant à des associations canadiennes et américaines ainsi qu’à d’éminentes personnalités. Après la mort de Jalbert, Hardy a cherché à préserver le souvenir de l’inventeur en trouvant un lieu pour conserver ses archives et travaux. Laurent Hardy est mort en 2005.

Hale Supple, Jeffrey, 1903-1934
Personne · 1903-11-15 – 1934-05-28

Jeffrey Hale Supple, né le 4 juin 1903 à Pembroke, en Ontario, a été le premier des deux fils de Joseph Alfred Supple (1873-1949) et d’Ellen Eliza Hale Supple (1878-1965). Son frère cadet était Alan Hale Supple.

Jeffrey Hale Supple a fréquenté la Pembroke Public School (1910-1916) puis la Pembroke High School (1916-1919), avant d’étudier au collège St. Andrew’s (1919-1922), à Toronto. Après avoir travaillé à la société Arnold & Bell Lumber à Massey Bay, en Ontario, il a poursuivi ses études à l’Université McGill (1926-1928) à Montréal, en sciences appliquées, où il s’est adonné au tennis, au tir et à la boxe, un sport dans lequel il a eu une certaine notoriété. Pendant sa dernière année d’études, il a été sélectionné (4 juin 1928) comme sous-lieutenant d’aviation provisoire à l’Aviation royale canadienne (ARC) et il a suivi une formation d’officiers au camp Borden, en Ontario. En bout de ligne, cependant, il n’a pas été accepté dans l’Aviation royale parce qu’il n’avait pas obtenu son diplôme universitaire et n’avait pas l’intention de poursuivre ses études.

En décembre 1929, Jeffrey Hale Supple est allé en Angleterre dans l’intention de joindre la Royal Air Force (RAF). Il a passé l’examen médical du Central Medical Examination Board le mois de son arrivée. En janvier 1930, il a été accepté en tant que sous-lieutenant d’aviation provisoire à la division des tâches générales de la RAF pour un service à court terme de cinq ans. Après un cours d’orientation de 20 jours au dépôt d’Uxbridge, à West London, il a suivi un cours de formation pour pilotes de cinq mois à la No. 1 Flying Training School à Netherhavon, dans le Wiltshire, où il s’est qualifié avec distinction en tant que pilote, en août 1930, pour la commande des aéronefs Avro 504N et de Havilland Moth. Il a été immédiatement affecté à l’escadron no 10 de la RAF, situé à Upper Heyford, Oxfordshire, qui était une unité de bombardiers lourds utilisant des aéronefs comme le bimoteur Handley-Page Hyderabad (HP24) ou Hinaidi (HP36). Il est passé de sous-lieutenant d’aviation à lieutenant d’aviation puis est devenu instructeur, ayant démontré des habiletés « supérieures à la moyenne » en navigation de jour et de nuit.

Après avoir reçu une formation sur les bombardiers monomoteurs, probablement l’Armstrong Whitworth Atlas, Jeffrey Hale Supple a été transféré à l’escadron no 84 de la RAF, à Shaibah, en Irak, au début d’octobre 1932. À l’époque, l’escadron pilotait des Westland Wapiti, ayant été chargé de la photographie aérienne du sud de l’Irak pour la réalisation de cartes.

Jeffrey Hale Supple est mort le 28 mai 1934, après un bref accès de paludisme, à Basra, en Irak, alors qu’il était encore au service avec l’escadron no 84. Il n’était pas marié. Il a été enterré au cimetière militaire de Basra. Son article intitulé The Navigator’s Cabin and its Position (la cabine du navigateur et sa position) a été publié après sa mort dans le journal The Aeroplane (Vol. XLII, no 1222), le 24 octobre 1934.

Hale Supple, Jeffrey, 1903-1934
Personne · 1903-11-15 - 2012-04-30

Jeffrey Hale Supple, né le 4 juin 1903 à Pembroke, en Ontario, a été le premier des deux fils de Joseph Alfred Supple (1873-1949) et d’Ellen Eliza Hale Supple (1878-1965). Son frère cadet était Alan Hale Supple.

Jeffrey Hale Supple a fréquenté la Pembroke Public School (1910-1916) puis la Pembroke High School (1916-1919), avant d’étudier au collège St. Andrew’s (1919-1922), à Toronto. Après avoir travaillé à la société Arnold & Bell Lumber à Massey Bay, en Ontario, il a poursuivi ses études à l’Université McGill (1926-1928) à Montréal, en sciences appliquées, où il s’est adonné au tennis, au tir et à la boxe, un sport dans lequel il a eu une certaine notoriété. Pendant sa dernière année d’études, il a été sélectionné (4 juin 1928) comme sous-lieutenant d’aviation provisoire à l’Aviation royale canadienne (ARC) et il a suivi une formation d’officiers au camp Borden, en Ontario. En bout de ligne, cependant, il n’a pas été accepté dans l’Aviation royale parce qu’il n’avait pas obtenu son diplôme universitaire et n’avait pas l’intention de poursuivre ses études.

En décembre 1929, Jeffrey Hale Supple est allé en Angleterre dans l’intention de joindre la Royal Air Force (RAF). Il a passé l’examen médical du Central Medical Examination Board le mois de son arrivée. En janvier 1930, il a été accepté en tant que sous-lieutenant d’aviation provisoire à la division des tâches générales de la RAF pour un service à court terme de cinq ans. Après un cours d’orientation de 20 jours au dépôt d’Uxbridge, à West London, il a suivi un cours de formation pour pilotes de cinq mois à la No. 1 Flying Training School à Netherhavon, dans le Wiltshire, où il s’est qualifié avec distinction en tant que pilote, en août 1930, pour la commande des aéronefs Avro 504N et de Havilland Moth. Il a été immédiatement affecté à l’escadron no 10 de la RAF, situé à Upper Heyford, Oxfordshire, qui était une unité de bombardiers lourds utilisant des aéronefs comme le bimoteur Handley-Page Hyderabad (HP24) ou Hinaidi (HP36). Il est passé de sous-lieutenant d’aviation à lieutenant d’aviation puis est devenu instructeur, ayant démontré des habiletés « supérieures à la moyenne » en navigation de jour et de nuit.

Après avoir reçu une formation sur les bombardiers monomoteurs, probablement l’Armstrong Whitworth Atlas, Jeffrey Hale Supple a été transféré à l’escadron no 84 de la RAF, à Shaibah, en Irak, au début d’octobre 1932. À l’époque, l’escadron pilotait des Westland Wapiti, ayant été chargé de la photographie aérienne du sud de l’Irak pour la réalisation de cartes.

Jeffrey Hale Supple est mort le 28 mai 1934, après un bref accès de paludisme, à Basra, en Irak, alors qu’il était encore au service avec l’escadron no 84. Il n’était pas marié. Il a été enterré au cimetière militaire de Basra. Son article intitulé The Navigator’s Cabin and its Position (la cabine du navigateur et sa position) a été publié après sa mort dans le journal The Aeroplane (Vol. XLII, no 1222), le 24 octobre 1934.

Grey, Mary W., 1927-1996
Personne · 1927 - 1996-06-27

Mary W. Grey (1927-1996) est née Mary Scribner à Chipman, au Nouveau-Brunswick. Elle a obtenu un baccalauréat ès sciences en génie civil de l’Université du Nouveau-Brunswick. Après ses études, elle a travaillé à Levés géodésiques du Canada (LGC), de 1941 jusqu’au début des années 1950. À LGC, elle a vraisemblablement acquis de l’expérience pratique en astronomie en effectuant des travaux de cartographie. Le bâtiment principal de LGC était situé à Ottawa, à côté de l’Observatoire fédéral.

En 1964, Mary Grey a intégré l’Observatoire fédéral en tant qu’agente d’éducation du public. Elle a travaillé à l’observatoire pendant dix ans, jusqu’à sa fermeture, en 1974. Durant cette période, elle est devenue membre de la section d’Ottawa de la Société royale d’astronomie du Canada (SRAC), à titre de secrétaire, de vice-présidente puis de présidente à partir de 1975-1976. Plus tard au cours de sa carrière, elle a agi au niveau national en tant que présidente de la SRAC, de 1986 à 1988. Elle a régulièrement contribué au journal de la société, et a reçu le prix de service de la SRAC en 1990 pour ses années de dévouement.

Les activités de mesure du temps et d’observation solaire à l’Observatoire fédéral ont été transférées au Conseil national de recherches du Canada (CNRC) en 1970. Après cela, les visites publiques à l’observatoire ont continué jusqu’à leur transfert au Musée national des sciences et de la technologie, en 1974. Mary Grey est alors devenue chef de la division de l’astronomie du musée, et plus tard, elle a été nommée conservatrice principale de l’astronomie et la physique. Dans ce poste, elle s’est consacrée à accroître l’intérêt et les connaissances du public envers l’astronomie par l’enseignement et par la rédaction de textes pour le bulletin Stargazing ainsi la revue trimestrielle du musée intitulée Sky News (Ciel Info). Un des plus importants artefacts qu’elle a acquis pour le musée est la lunette astronomique de 15 pouces, soit le principal télescope de l’Observatoire fédéral, après la fermeture de ce dernier. La lunette a été installée dans un nouvel observatoire, sur le terrain du musée, où elle est devenue une pierre angulaire de la programmation publique et des activités pédagogiques de l’institution. L’observatoire a reçu le nom de Helene Sawyer Hogg en 1989. La même année, le prix de mérite de l’Association du service civil du Canada a été décerné à Mary Grey.

Mary Grey a pris sa retraite en 1992. Elle a été nommée conservatrice émérite au musée. Elle est décédée le 26 juin 1996, et une cérémonie de commémoration a été tenue à l’auditorium du musée en juillet.

Grégoire, Pierre
Personne · fl.1995

Pierre Grégoire était chargé de rédiger l'historique des unités de la force terrestre de la milice secteur de Québec, des plus connues à celles qui le sont moins.

Greenhous, Brereton, 1929-
Personne · 1929-

Brereton Greenhous (1929-) était directeur du programme historique au Service historique et est auteur. Né en Angleterre, il a servi dans l'Armée britannique, la police malaise et l'Armée canadienne entre 1947 et 1965. Il a obtenu son baccalauréat à l'Université Carleton, sa maîtrise à l'Université Queen's et a terminé deux années d’études pré-doctorales à Dublin pour ensuite enseigner à l'Université Lakehead. Il a été embauché comme historien en chef du ministère de la Défense nationale en 1971. Spécialiste des forces aériennes tactiques, ses articles on été publiés dans six pays. Il est l'auteur de "Semper Paratus: The History of the Royal Hamilton Light Infantry (Wentworth Regiment), 1862-1977" et coauteur avec W.A.B. Douglas de "Out of Shadows: Canada in the Second World War". En 1999, il publie en collaboration avec Hugh A. Halliday, “L’Aviation militaire canadienne, 1914-1999.” Ce livre est également publié sous le titre “Canada’s Air Forces, 1914-1999.”

Graves, Donald E. (Donald Edward), 1949-
Personne · 1949-

Donald Graves (1949-) est reconnu internationalement comme un expert sur la guerre de 1812 et il a publié quatre livres à ce sujet. Il était historien au Service historique du ministère de la Défense nationale. Il a écrit, co-écrit ou édité plus d’une douzaine de livres. De plus, il était historien consultant pour l'émission sur la guerre de 1812 de la série télévisée CBC Millenium History, diffusée en 2000. En 1999, M. Graves était le directeur de Ensign Heritage, une compagnie spécialisée dans la consultation et les voyages liés au patrimoine.

Gallagher, Michael
Personne · 1948-

Michael Gallagher (1948 - ) est né à Sturgeon Falls, Ontario. Il est marié à Colette Naubert et a deux enfants - Natalie et Patrick.

Pendant ses années d’études, Michael Gallagher est pensionnaire pendant un an au Collège Sacré-Coeur de Sudbury avant de retourner à Sturgeon Falls pour terminer ses études secondaires. Après ses études au niveau secondaire, Gallagher a étudié un an à l'École normale de l'Université Laurentienne. En 1970, il a été accepté à l'Ontario College of Art (OCA) de Toronto (aujourd'hui l'université Ontario College of Art and Design University - OCAD), où il a développé un intérêt pour le design graphique et l'art commercial. Il a gradué en 1974.

En 1972, Gallagher a décidé de prendre une année de congé de l'OCA. Pendant cette période, il rejoint son ami d'enfance André Paiement à Sudbury pour travailler sur la production du Théâtre du Nouvel-Ontario (TNO) de À mes fils bien-aimés - Gallagher a à la fois joué dans la pièce et conçu le programme pour cette même pièce de théâtre. Au même moment, Gallagher a été introduit à la Coopérative des artistes du Nouvel-Ontario (C.A.N.O.). Fondée en 1972 par Pierre Bélanger, la C.A.N.O. était une communauté créative d'artistes - basée à l'origine sur une ferme à Earlton, en Ontario - dont le but était de promouvoir la création et la diffusion des arts et de la culture franco-ontariens tels que le théâtre, création littéraire, la musique et les arts visuels, dans le nord de l'Ontario. Michael Gallagher est devenu membre de la coopérative et a passé du temps sur la ferme d'Earlton, ainsi qu'à Sudbury à travailler à des productions du TNO.

En 1975, Gallagher, alors diplômé de l'OCA revient à Sudbury. En novembre de la même année, CANO musique est fondée par André Paiement et quatre autres membres : Michael Gallagher, David Burt, Robert Dickson et Marcel Aymar. CANO musique était une société à but non lucratif dont les objectifs étaient similaires à ceux de la coopérative des Artistes du Nouvel-Ontario (C.A.N.O.) à savoir produire et promouvoir l'art franco-ontarien, sauf qu'elle se concentrait uniquement sur la forme artistique de la musique. Fidèle à son homonyme coopératif, CANO musique fonctionnait sur un pied d'égalité, ses membres assumant de nombreux rôles au sein du groupe autogéré, et Michael Gallagher ne faisait pas exception. En plus d'avoir été élu président lors de la réunion inaugurale du conseil d'administration, et grâce à son expérience antérieure dans le domaine du son pour les productions théâtrales, Gallagher a d'abord assumé le rôle de technicien du son. Peu de temps après, il est devenu directeur artistique et photographe de CANO, et a créé des maquettes et des designs originaux pour les pochettes d'albums, les affiches, les laissez-passer de concerts et autres matériels promotionnels du groupe, ainsi que de prendre des photos du groupe lors des représentations et des séances promotionnelles. Au fur et à mesure que la popularité du groupe s'est accrue, les responsabilités de Gallagher en matière de gestion des tournées ont augmenté.

Bien que Gallagher cumulait ces nombreuses fonctions pour le groupe CANO, elles étaient également offertes à une clientèle externe dans le cadre des services fournis par CANO. À ce titre, Gallagher a développé des concepts de pochettes d'album et de mise en page pour les notes d’accompagnement. Il a entre autres créé du matériel promotionnel et des affiches pour le TNO, les Éditions Prise de parole et les stations de radio CBON et CBC Sudbury, et il a également assuré la régie de La Nuit sur l'étang et du Northern Lights Festival Boréal.

En 1985, à la suite de la sortie de leur dernier album et de la tournée de promotion, CANO s'est dissout. Michael Gallagher vivait à Toronto, où il a commencé à travailler pour le ministère des Affaires civiques et de la Culture après avoir travaillé trois ans au bureau des tournées du Conseil des arts de l'Ontario. En 2003, Michael Gallagher était conseiller principal en communication pour le ministère de la Santé et des Soins de longue durée. Il est aujourd'hui à la retraite et vit à Toronto, Ontario.

Gagnon, Jean-Pierre, 1942-
Personne · 1942-

Jean-Pierre Gagnon (1942-) fut historien pour la Direction - Histoire et patrimoine (DHP) et écrivain. Il a obtenu son baccalauréat, sa licence ès Lettres et son doctorat en histoire à l'Université Laval. Il détient également une maîtrise de l'Université Carleton. À part son travail d'historien pour la Direction - Histoire et patrimoine, il a enseigné aux Universités Laval, et d’Ottawa ainsi qu'au Collège militaire royal du Canada à Kingston. Suite à des recherches menées à la DHP, il a publié un ouvrage intitulé "Le 22e bataillon (canadien-français) 1914-1919: étude socio-militaire". Il a également écrit plusieurs articles pour des revues historiques, pour le "Dictionnaire biographique du Canada" et pour le "Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec", en plus de participer à de nombreux colloques nationaux et internationaux. En outre, il a participé à la série télévisée "Le prix de la liberté" (au canal "D") et a été secrétaire et membre du conseil de direction de la Société historique du Canada.

Fournier, Marcel, 1946-
Personne · 1946-

Marcel Fournier (1946-) est un historien et généalogiste distingué et auteur de dix-huit publications et d'une cinquantaine d'articles en histoire et en généalogie. Il est considéré un expert de l’histoire de peuplement au Canada. Il a commencé à travailler pour le gouvernement du Québec en 1970 et plus tard il a travaillé pour la Bibliothèque nationale du Québec pendant dix ans. En 1990 il a été nommé membre honoraire national de l’Association Québec-France et en 1995 il a reçu un prix pour son contribution exceptionnel à l’histoire franco-québécoise. Entre 1999 et 2007 Fournier a été président de la Société généalogique canadienne-française. Depuis 2006 il dirige le Projet Montcalm sur la reconstitution des rôles des soldats de Montcalm qui ont combattu en Nouvelle-France lors de la guerre de Sept Ans.

Fortier, Robert
Personne · 1950

Né le 17 avril 1950, Robert Fortier vit pendant plusieurs années au lac Nassau, situé à environ 50 kilomètres à l’ouest de Hearst. De 1950 à octobre 1952, son père, Fortunat Fortier, travaille comme forgeron pour la compagnie Henry Selin Forest Product et la famille habite dans le village forestier communément appelé Selin. En 1952, son père entre à l’emploi de la Transcontinental Paper Company, dont les installations avoisinent le village forestier. La famille Fortier s’installe alors dans une maison de la compagnie Transcontinental. Accompagné de ses parents, de ses sœurs Gisèle et Solange et de ses frères Denis et Noël, Robert y vit, de 1952 à 1961. À son arrivée dans le Nord-Est ontarien, la famille Fortier s’est d’abord installée à Opasatika. Elle conserve sa maison d’Opasatika, pendant qu’elle vit au lac Nassau. Durant son enfance et sa jeunesse, Robert Fortier a été témoin de l’évolution du village d’Opasatika et de la compagnie Henry Selin Forest Products, qui possédait, à l’époque, la scierie la plus importante de la région.

En 2016, Robert Fortier a légué sa collection de photos numériques au Centre d’archives de la Grande Zone argileuse.

Collectivité · 1980-

L’université d’Ottawa a lancé son programme d’enseignement coopératif en 1980. Ce dernier est maintenant le deuxième en importance en Ontario, partage le troisième rang au niveau canadien et affiche un très haut taux de placement. Le programme Coop permet aux étudiants d’utiliser leurs compétences acquises en milieu académique par l’intermédiaire de travail concret rémunéré directement dans leur domaine d’étude. Il leur permet donc d’acquérir de l’expérience réelle de travaille tout en complétant leurs études.

Fonds Musée naval de Québec
Collectivité · 1995-

Au printemps de l’année 1995, le Musée naval de Québec ouvrait ses portes. L’établissement du musée était étroitement lié à celui du complexe naval à Point-à-Carcy, qui abrite les édifices de la Réserve navale dans le Vieux Port de la ville de Québec. Lors de la construction de l’École navale des Forces canadiennes à Québec (ENFC(Q)), des représentants officiels du ministère de la Défense nationale ont décidé de prendre avantage de l’opportunité d’inclure un espace sur les lieux pour le premier musée naval du Québec. Le Musée naval de Québec est dédié à la préservation de l’héritage naval canadien. Le musée abrite des documents et des artéfacts datant du temps colonial jusqu’à aujourd’hui et met une emphase particulière sur le rôle des Canadiens-français dans l’histoire navale canadienne.

Collectivité · 1970-1994

La base des Forces canadienne (BFC) de Lahr a été établie le 1er juillet 1970 et englobe les deux détachements de Lahr et Baden-Soellingen. Le 1er novembre 1979, la BFC Europe a été renommée BFC Lahr. Cette dernière contient quatre branches principales : les opérations de la base, l’administration de la base, les services techniques de la base et le contrôleur de la base. La BFC Lahr a été démantelée le 15 août 1994.

Feuilto, Olimpe et Feuilto, Pierre
Famille

Feuilto, Pierre. Fils de Grégoire Feuilto et Françoise Laprise; marié à Olimpe Besse, 23 janvier 1843, Saint-Roch-des-Aulnaies (Québec); grand-père d'Élisabeth Lajoie; arrière-grand-père de Georges Michaud. Besse, Olimpe. Fille de Louis Besse et Marie Charlotte Pelletier; mariée à Pierre Feuilto, 23 janvier 1843, Saint-Roch-des-Aulnaies (Québec); grand-mère d'Élisabeth Lajoie; arrière-grand-mère de Georges Michaud. Sources : Fonds Georges-Michaud (P62); Amable Morin, notaire de chez nous : premier tabellion résident de Saint-Roch-des-Aulnaies / Robert Martin. - Saint-Anne-de-la-Pocatière : Société historique de la Côte-du-Sud, 1976, 104 p. (Cahier d'histoire; 11).