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People and organizations
Pouliot, Francine
Person · 1955

Francine Pouliot est une résidante de Hearst.

Comeau, Claude
Person · 1934

Fils de Marguerite Gagnon et Edmond Comeau, Claude Comeau épouse Mona Bégin en juillet 1957. De cette union naissent trois enfants : Robert, Julie et Lina. Pendant 15 ans, Claude Comeau travaille à la scierie Henry Selin Forest Products. En 1964, il achète l’hôtel Queen’s situé à Hearst.

Claude Comeau, le donateur du fonds, a enregistré, au cours des années, plusieurs films de type 8 mm. De sa collection privée constituée de plus de 43 films, le Centre d’archives de la Grande Zone argileuse en a numérisé cinq.

Levesque, Bernard
Person · Unknown

Bernard Levesque était un résidant de Kapuskasing.

Corporate body · 1948 - 2013

Cette collection comprend des revues ayant appartenu à la Bibliothèque Maurice-Saulnier. En 2013, certaines revues scientifiques, d’autres à caractère historique ou régional ont été transférées au Centre d’archives. La Bibliothèque conserve les numéros récents des revues auxquelles elle est toujours abonnée et effectue régulièrement des transferts vers le Centre d’archives. Ces revues figurent dans le catalogue ou dans des bases de données accessibles à la bibliothèque et certains des articles sont disponibles en texte intégral. Le Centre d’archives conserve la version imprimée. L'information relative à ces revues étant facilement accessible, une description archivistique n'a pas été préparée pour chacune des revues appartenant à cette collection.

Le Chaînon
Corporate body · 1983

Le Chaînon est une revue publiée par le Réseau du patrimoine franco-ontarien (RPFO), autrefois la Société franco-ontarienne d’histoire et de généalogie, un organisme provincial à but non lucratif. Depuis 1983, la revue met l’accent sur l’histoire locale, biographique et évènementielle de l’Ontario français. Elle s’intéresse aussi aux patrimoines matériels et immatériels des Franco-Ontariens et des Franco-Ontariennes. Le Chaînon est publié deux fois par année et compte quelques 12 000 lecteurs.

Choeur Franc-Nord
Corporate body · 1990 - 1999

En collaboration avec le Conseil des Arts de Hearst, la chorale Le Chœur Franc-Nord est fondée en octobre 1990 par le psychologue Robert Vachon qui, à l’époque, était un des directeurs du centre culturel. Selon lui, les gens de la communauté de Hearst avaient un intérêt particulier pour le chant chorale. Sous la direction de Charles Dallaire, un musicien professionnel, 25 à 35 personnes de la région de Hearst ont participé à cette activité culturelle. La chorale interprétait divers styles musicaux, notamment des airs populaires, des chansons d’amour, du folklore, des aires classiques célèbres, des chansons de Noël, des chants liturgiques anciens et des Negro Spirituals. Les répétitions avaient lieu tous les mardis soirs de septembre à mai. À quelques reprises, le Chœur Franc-Nord a unis sa voix à d’autres chorales, notamment à celles de Longlac et de Kapuskasing.

L’objectif de la chorale était de s’autofinancer. Pour ce faire, chaque membre devait payer des frais d’inscription. Elle présentait deux concerts annuels. Les frais d’admission aux concerts contribuaient également au financement de la chorale. Le Chœur Franc-Nord cesse ses activités en 1999.

Fortier, Robert
Person · 1950

Né le 17 avril 1950, Robert Fortier vit pendant plusieurs années au lac Nassau, situé à environ 50 kilomètres à l’ouest de Hearst. De 1950 à octobre 1952, son père, Fortunat Fortier, travaille comme forgeron pour la compagnie Henry Selin Forest Product et la famille habite dans le village forestier communément appelé Selin. En 1952, son père entre à l’emploi de la Transcontinental Paper Company, dont les installations avoisinent le village forestier. La famille Fortier s’installe alors dans une maison de la compagnie Transcontinental. Accompagné de ses parents, de ses sœurs Gisèle et Solange et de ses frères Denis et Noël, Robert y vit, de 1952 à 1961. À son arrivée dans le Nord-Est ontarien, la famille Fortier s’est d’abord installée à Opasatika. Elle conserve sa maison d’Opasatika, pendant qu’elle vit au lac Nassau. Durant son enfance et sa jeunesse, Robert Fortier a été témoin de l’évolution du village d’Opasatika et de la compagnie Henry Selin Forest Products, qui possédait, à l’époque, la scierie la plus importante de la région.

En 2016, Robert Fortier a légué sa collection de photos numériques au Centre d’archives de la Grande Zone argileuse.

Moriceau, Christophe
Corporate body · fl.2015

Christophe Moriceau est un plongeur et un historien qui s’est concentré sur l’histoire maritime. Il a également écrit l’article « U 165 septembre noir sur le Saint-Laurent ». Il vit présentement, en 2015, à Saint-Avertin, France.

Corporate body · 1990-

Le système d'état-major interarmées ou système d'état-major continental, est un système de coordination des activités militaires interforces reconnu l'internationale. Le système a été adopté par le Quartier-général de la Défense nationale en 1990 lors de la crise d'Oka et a continué au cours de la guerre du Golfe comme moyen de mobilisation rapide des ressources en face de l'évolution rapide d'événements. Il a permis aux mesures correctives nécessaires pour répondre aux besoins opérationnels urgents d'éviter les différentes couches de la bureaucratie.

En 1994, J3 Opérations était responsable:

  1. Du suivi du briefing et de faire des rapports sur les activités et opérations des Forces canadiennes (FC) ;
  2. Du contrôle et coordination (incluant montage, le déploiement, le soutien et le retrait) des opérations commandées au niveau national ;
  3. De la formation du maintien de la paix ;
  4. Des visites aux forces aux contingents déployés ; et
  5. De la coordination de l’aide à d’autres ministères du gouvernement.
Corporate body · fl.1972-1973

La Direction des services infirmiers était une division du Quartier général de la Défense nationale du Canada. Elle avait pour rôle la coordination des politiques en vigueurs dans les différents services infirmiers militaires, notamment par le billet de manuels et la supervision d’examens.

Corporate body · 1950-

Le quartier général de la 1ère escadre appuie son commandant dans sa gestion opérationnelle de cinq escadrons tactiques d’hélicoptères et de cinq détachements séparés répartis entre Gagetown, NB et Edmonton, AB, soit un personnel approximatif de 1075 individus en 2007. Le quartier général coordonne et contrôle les mouvements d’équipement tout en gérant les carrières et l’administration des membres de l’escadron. De plus, la 1ère escadre constitue une unité propre dans tous les aspects, ses besoins étant comblés de manière interne ainsi que par sa base de support, BFC (base des forces canadienne) Kingston.

Bernier, Serge
Person · fl.1995-2013

Serge Bernier devient directeur à la Direction – Histoire et patrimoine en 1995. Né à Montréal, il reçoit son Baccalauréat ès arts en histoire du Collège militaire royal. Récipiendaire d'une bourse lui permettant d'obtenir le Diplôme du Centre des Hautes Études européennes, il a ensuite complété son Doctorat en histoire contemporaine à Strasbourg, en France, tout en servant comme officier d'état-major au Quartier général de la Défense nationale. Il a terminé sa carrière comme historien en uniforme au Service historique de la Défense nationale, à Ottawa. Il est ensuite devenu Historien en chef (civil) et Directeur - Histoire et patrimoine. Il a publié des dizaines d'articles et plusieurs livres, y compris les deux volumes sur le bilinguisme dans les forces armées, avec Jean Pariseau, et sa thèse de doctorat: Relations politiques franco-britanniques, 1947-1958. De plus, il a collaboré avec le général Allard dans la rédaction du livre: Mémoires du général Jean V. Allard.

Corporate body · 1995-

Au printemps de l’année 1995, le Musée naval de Québec ouvrait ses portes. L’établissement du musée était étroitement lié à celui du complexe naval à Point-à-Carcy, qui abrite les édifices de la Réserve navale dans le Vieux Port de la ville de Québec. Lors de la construction de l’École navale des Forces canadiennes à Québec (ENFC(Q)), des représentants officiels du ministère de la Défense nationale ont décidé de prendre avantage de l’opportunité d’inclure un espace sur les lieux pour le premier musée naval du Québec. Le Musée naval de Québec est dédié à la préservation de l’héritage naval canadien. Le musée abrite des documents et des artéfacts datant du temps colonial jusqu’à aujourd’hui et met une emphase particulière sur le rôle des Canadiens-français dans l’histoire navale canadienne.

Grantham, Liliane
Person · fl.1972-1996

Liliane Grantham a été agent de recherche pour la section francophone au Service historique de la Défense nationale pendant seize ans. Née dans la ville de Québec, elle fit ses études primaires au Couvent St-François-d'Assise et ses études secondaires au Leonard High School. Par la suite, elle poursuivit un cours de couture et de création de mode. Pendant cinq ans, elle travailla à la compagnie Sun Life à Québec avant de quitter ce poste pour se marier.
En 1972, Mme Grantham recommença à travailler à temps plein au Bureau du Commissaire aux langues officielles. En 1980, elle se joignit au Service historique de la Défense nationale. Durant ses onze premières années, elle assistait les historiens pour la recherche dans des projets tels: "L'histoire du 22e bataillon" et "Les Canadiens-français et le bilinguisme dans les Forces armées canadiennes." Elle effectua aussi des recherches intensives à New York dans les archives des Nations-Unies sur la participation des Canadiens aux missions de paix, en particulier celles du Moyen-Orient. De plus, elle poursuivit ses études en histoire et littérature canadienne-française à l'Université d'Ottawa, publia plusieurs articles en français et prêta assistance au Musée canadien de la guerre en tant que membre fondateur des Amis du Musée canadien de la guerre et a aussi agi à titre de traductrice.
Lors de ses cinq dernières années au Service historique, Mme Grantham occupa un poste bilingue de référence touchant les questions d'histoire militaire. C'est durant cette période qu'elle fit des recherches sur les sœurs infirmières et publia plusieurs articles. Depuis sa retraite en 1996, elle effectue plusieurs traductions pour divers organismes.

Gagnon, Jean-Pierre, 1942-
Person · 1942-

Jean-Pierre Gagnon (1942-) fut historien pour la Direction - Histoire et patrimoine (DHP) et écrivain. Il a obtenu son baccalauréat, sa licence ès Lettres et son doctorat en histoire à l'Université Laval. Il détient également une maîtrise de l'Université Carleton. À part son travail d'historien pour la Direction - Histoire et patrimoine, il a enseigné aux Universités Laval, et d’Ottawa ainsi qu'au Collège militaire royal du Canada à Kingston. Suite à des recherches menées à la DHP, il a publié un ouvrage intitulé "Le 22e bataillon (canadien-français) 1914-1919: étude socio-militaire". Il a également écrit plusieurs articles pour des revues historiques, pour le "Dictionnaire biographique du Canada" et pour le "Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec", en plus de participer à de nombreux colloques nationaux et internationaux. En outre, il a participé à la série télévisée "Le prix de la liberté" (au canal "D") et a été secrétaire et membre du conseil de direction de la Société historique du Canada.

Pariseau, Jean, 1924-
Person · 1924-

Jean Pariseau (1924-) a servi dans l’Aviation Royale du Canada et ensuite dans l’Armée canadienne avant de devenir historien en chef à la Direction du service historique. Né à Montréal en 1924, il déménage plus tard en Alberta où il complète son éducation élémentaire avant de poursuivre son cours classique au Collège Saint-Jean à Edmonton. Il s’enrôle dans l’Aviation royale du Canada (ARC) comme pilote en 1943. En raison d’un surplus d’aviateurs, il demande une mutation à l’infanterie et devient sergent- instructeur avant d’être licencié en 1946. Durant la Guerre de Corée, il s’enrôle de nouveau, reçoit une commission d’officier et est mute à l’armée régulière avec le régiment Princess Patricia’s Canadian Light Infantry à Calgary. Il sert ensuite en Allemagne, à l’École royale canadienne d’infanterie ainsi qu’au Congo belge en 1960 au sein des troupes de l’Organisation des Nations Unies (ONU).

En 1966, il est muté au Quartier Général de la Défense Nationale (QGDN) à Ottawa à titre d’officier d’état-major, puis il se retrouve à nouveau au sein des troupes de l’ONU à Chypre en 1968. Au cours des années 1970, Jean Pariseau s’oriente vers l’histoire militaire et est muté au Service Historique de la Défense Nationale où il participe à la rédaction de premier tome de l’histoire militaire de l’ARC. Entre temps, il se mérite une maîtrise en histoire de l’Université d’Ottawa. Licencié des Forces armées en 1973, il travaille d’abord au bureau du Commissaire aux langues officielles avant de revenir au Service historique de la Défense Nationale à titre d’historien en chef de la section francophone nouvellement créée. Il occupe ce poste jusqu’en 1989, date à laquelle il prend sa retraite. Dans l’intervalle, il prépare une étude détaillée sur le bilinguisme au sein du Ministère de la Défense Nationale et il obtient un doctorat ès lettres en histoire du Centre d’études d’histoire militaire et de la Défense nationale à l’Université Paul Valéry, à Montpellier en France.

Sa thèse s’intitule : Les Forces armées et le maintien de l’ordre au Canada, 1867-1967: un siècle d’aide au pouvoir civil. En plus d’avoir rédigé, commenté et traduit plusieurs articles et ouvrages publiées, Jean Pariseau a également été président de la Commission canadienne d’histoire militaire et membre fondateur du Comité de bibliographie de la Commission internationale d’histoire militaire.

Corporate body · 1968-

Les Forces canadiennes (FC), officiellement les Forces armées canadiennes, forment les forces armées unifiées du Canada, telles que constituées par la Loi sur la défense nationale. Cette institution consiste en trois branches principales : le Commandement maritime (MARCOM), le Commandement de la Force terrestre (LFC) et le Commandement aérien (AIRCOM). Ces dernières sont supervisées par le Conseil des Forces armées, présidé par le Chef d’état-major de la Défense. Au sommet de la pyramide du commandement se trouve le Commandant-en-chef, qui est toujours le monarque régnant sur le Canada, soit présentement la reine Élizabeth II, représentée par le Gouverneur général. La présente incarnation des Forces canadiennes date du 1er février 1968 quand la Marine royale du Canada, l’Armée canadienne et l’Aviation royale du Canada furent intégrés dans une structure unifiée. En 2009, les Forces sont financées au niveau d’environ 20 milliards de dollars par années, ce qui place le Canada au 16ème rang mondial, au 74ème pour la taille (selon le personnel total) et 58ème en ce qui concerne le personnel actif. Elles comptent environ 66000 membres, sans compter les quelques 26000 réservistes. Ces individus servent sur plusieurs bases situées dans toutes les régions du pays et sont régis par les Ordonnances et règlements royaux applicables aux Forces canadiennes ainsi que par la Loi sur la défense nationale.

Corporate body · 1996

Le commandant du Commandement de la Force terrestre, le lieutenant-général Maurice Baril, a annoncé en juillet 1996, une commission d'enquête pour éclairer les enjeux et formuler des recommandations pour une action appropriée et enquêter sur les défaillances possibles en matière de leadership, de commandement et de contrôle dans un groupe de combat connu sous le nom CANBAT 2 en Bosnie.

CANBAT 2, basé sur 12e Régiment blindé du Canada (12 RBC), y compris des sous-unités du Royal 22e Régiment, d’artillerie, du génie et de divers éléments de soutien, a servi dans la Force de protection des Nations Unies (FORPRONU), en Bosnie-Herzégovine entre octobre 1993 et mai 1994. A la fin de la tournée, des allégations ont été soulevées à propos de mauvaise conduite de la part des membres de l'unité de Bakovici hôpital, à savoir, l'abus d'alcool, l'abus des patients, l'inconduite sexuelle et les activités du marché noir. Au cours des enquêtes ultérieures d'autres préoccupations ont été soulevées à propos de l'état de l'efficacité de la discipline et de l'ensemble de l'unité qui ont abouti à la commission d'enquête. Des enquêtes sommaires sur la disparition d'une mitrailleuse de calibre .50 et l'inaction alléguée de soldats canadiens lors de la mort d'un soldat serbe ont été intégrés à la commission d'enquête qui a remis son rapport le 15 novembre 96.

La conclusion générale de la Commission d'enquête était que le Groupement tactique du CANBAT 2 avait l'étoffe d'une bonne unité, mais a connu plusieurs problèmes, principalement en raison de l'inexpérience ou de l'inefficacité de certains membres clés du personnel. Les principales allégations d'inconduite ont été étudiées. Il y avait une faute professionnelle de la part de certains individus qui ont fraternisé avec les infirmières et les interprètes, y compris la consommation d'alcool et le sexe consensuel; le rasage d'une patiente par un soldat a eu lieu et le soldat n'a pas été traitée par des mesures disciplinaires appropriées à l'époque, il y a eu l'abus d'alcool par un certain nombre de membres de CANBAT 2, un certain nombre de personnes étaient violentes à l'égard de certains patients et une en particulier. La plupart des abus d'alcool et le comportement inacceptable s'est produit dans les éléments du Royal 22e Régiment qui étaient sous le commandement du groupement tactique.

Corporate body · fl.1971-2002

Le Comité ministériel sur les langues officielles au sein du ministère de la défense nationale et dans les Forces armées canadiennes se leva de l'inquiétude sur la mesure dans laquelle le français était utilisé et le degré auquel les francophones étaient adéquatement représentés dans les forces armées et dans le ministère de la Défense nationale (MDN). Il a été chargé d'examiner le plan directeur de mise en œuvre du MDN portant sur la période 1987 à 2002 et de chercher des moyens pour atteindre les objectifs plus rapidement. Le Comité a également été invité identifier les secteurs dans les deux composantes militaires et civiles du ministère où la participation francophone devrait être améliorée.

Beauregard, Claude, 1957-
Person · 1957-

Claude Beauregard, un historien, a été employé militaire du Service historique du Ministère de la Défense nationale de 1992 à 1996. Durant les années 1992 et 1993, il a entrepris des recherches sur le rôle du Canada dans le maintien de la paix et a donc accumulé des matériaux écrits diversifiés sur le maintien de la paix en général ainsi que sur le Groupe d’assistance des Nations Unies pour la période de transition (GANUPT) en particulier.
Il a complété son Doctorat en 1995 et a poursuivi des études post doctorales au Département d’Histoire de l’Université Laval. Son principal champ de recherches professionnelles est le contrôle et la manipulation de l’information au XXe siècle.
De plus, Claude Beauregard a été membre de l’exécutif de la Société historique du Canada, chercheur supérieur à l’Institut canadien des Études stratégiques et il a aussi été commissaire à la Commission canadienne d’histoire militaire.