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People and organizations
Chelmsford Women's Institute
036 · Corporate body · 1949 - 1960

Le Chelmsford Women's Institute a été fondé le 3 juin 1949 par des femmes de l’endroit. Il s’agissait d’une constituante des Women's Institutes in Canada fondées par Adelaide Hoodless en 1897. Mme Grace McCrystal (née Vaillancourt) organise la première réunion chez elle, à Chelmsford, à laquelle 16 dames assistent pour entendre la présidente du district, Mme H. Williams, et la secrétaire du district, Mme J. Hamilton, présenter le travail et les objectifs du Women’s Institute.

L’organisme se définit comme un groupe non partisan et non confessionnel se consacrant d’abord à l’éducation. Quelques-uns de ses comités permanents : agriculture et industries canadiennes, citoyenneté et éducation, activités communautaires et relations publiques, recherche historique et actualités, économie domestique et santé, et enfin, résolutions.

Le Women's Institute a aidé des familles locales dans le besoin, habituellement en menant des collectes de fonds, en donnant des vêtements ou en envoyant des fleurs. L’organisme a également fait des dons en argent à des causes nationales, par exemple la Croix-Rouge, présenté des documents de travail lors de réunions sur des sujets comme l’agriculture, l’histoire locale, la géographie, le magasinage et l’hygiène. Il a tenu des rencontres pour ses membres, notamment des réceptions-cadeaux pour bébé, des échanges de cadeaux de Noël et des promenades en traîneau. De 1949 à 1956, il a aussi documenté l’histoire de Chelmsford par l’entremise des albums de coupures historiques Tweedsmuir. Les travaux à cette fin ont été entrepris par la responsable du comité permanent de recherches historiques et d’actualités, Rose Cvitkovich.

Le Chelmsford Women's Institute a été officiellement dissout en 1960.

Quelques présidents du Chelmsford Women's Institute :

Mme A. Rhéaume (1949-1950)
Mme Albert DeFinney (décembre 1950-avril 1951)
Mme Yvonne Trottier (née Paquette) (1951-1952, 1953-1955)
Mme G. Castonguay (1952)
Mme Cvitkovich (1956)

Vaillancourt, Raoul
Person · 1919 - 2010

Raoul Vaillancourt est né le 24 juin 1919 à Saint-Honoré-de-Shenley, un village situé dans la région de la Chaudière-Appalaches, autrefois la Beauce, au Québec. Après avoir travaillé à la ferme paternelle, il devient apprenti dans un garage montréalais et obtient sa licence de mécanicien après 2 ans. Lors d'une visite chez ses frères Clodomir et Jos, installés à Hearst en Ontario, ce dernier lui offre un emploi. Il travaille ensuite comme mécanicien au garage du camp 1 de l'entreprise forestière locale Fontaine Lumber. En 1943, on le retrouve à nouveau à l’emploi de son frère Jos, alors propriétaire du Central Garage. La même année, le 14 juin, Raoul Vaillancourt épouse Alice Camiré. Le couple a six enfants : Rita, Solange, Louise, Réjean, Diane et Laurent.

En 1947, Raoul Vaillancourt fonde le garage Royal Auto Body Shop. Pendant 40 ans, il y offre des services de débosselage, de mécanique et de peinture. En 1957, il entreprend la construction du motel Villa, qui comprend alors 25 unités. Pendant 13 ans, le couple Vaillancourt gère le garage et le motel. En 1970, il vend le motel à Raymond et Rachel Comeau.

Raoul Vaillancourt participe de maintes façons au développement de sa communauté. En 1945, il devient membre des Chevaliers de Colomb de Hearst. De 1960 à 1998, Raoul Vaillancourt siège à la Commission des travaux publics de Hearst. De plus, de 1953 à 1966, il est membre du Conseil d'administration de la Caisse Populaire de Hearst Limitée, d'abord en tant que conseiller puis comme président.

Raoul Vaillancourt est décédé le 14 avril 2010, à l'âge de 90 ans.

D'Amours, Benoît
Person · 1933

Comme plusieurs membres de sa famille, Benoît D’Amours a travaillé dans l'industrie forestière pendant de nombreuses années. Benoît D'Amours est le fils de Charles D’Amours, originaire de Trois-Pistoles, au Québec. Charles D’Amours et ses frères Jean-Baptiste, Joseph et Apollinaire s’installent à Moonbeam, en Ontario, entre 1925 et 1927. Les frères D’Amours se lancent dans l’industrie forestière et deviennent propriétaires de moulins à scie et d'équipements forestiers. À compter de 1953, Charles D'Amours devient l’unique propriétaire des entreprises familiales, mais certains de ses frères, devenus agriculteurs et éleveurs de bétail, ainsi que ses fils Benoît, Germain, Gaston, Raymond, Roger et Yvon, sont à l’emploi de la compagnie.

En 1966, Charles D’Amours meurt subitement. Il lègue son moulin à scie et ses propriétés, incluant l’usine de rabotage et les maisons, à son fils Benoît. L'oncle de Benoît, Roland D’Amours, devient son bras droit et ses frères et beaux-frères travaillent aussi pour l’entreprise. La compagnie Benoît D’Amours Lumber est fondée en 1966; elle sera opérationnelle jusqu’en 1976. L’entreprise est située sur les terrains où les pionniers de la famille D’Amours se sont installés à leur arrivée à Moonbeam.

Pour se procurer du bois afin d’alimenter son moulin à scie, Benoît D’Amours obtient des droits de coupe sur des terres de la Couronne situées dans les cantons de Nansen, de Haggart et parfois celui de Kendrey. Selon les années, jusqu’à 30 travailleurs forestiers sont embauchés pour couper le bois puis le transporter par camions sur la propriété de l’entreprise, pendant la saison hivernale. Le bois y est trié : celui de bonne qualité étant réservé au bois de sciage, le reste étant vendu comme bois à pâte. Le moulin fonctionne pendant le printemps et l’été et emploie entre six et huit travailleurs. En 1976, Benoît D’Amours vend son moulin à scie et crée une nouvelle compagnie nommée Les Équipements Benoît D’Amours et Fils.

Choeur Franc-Nord
Corporate body · 1990 - 1999

En collaboration avec le Conseil des Arts de Hearst, la chorale Le Chœur Franc-Nord est fondée en octobre 1990 par le psychologue Robert Vachon qui, à l’époque, était un des directeurs du centre culturel. Selon lui, les gens de la communauté de Hearst avaient un intérêt particulier pour le chant chorale. Sous la direction de Charles Dallaire, un musicien professionnel, 25 à 35 personnes de la région de Hearst ont participé à cette activité culturelle. La chorale interprétait divers styles musicaux, notamment des airs populaires, des chansons d’amour, du folklore, des aires classiques célèbres, des chansons de Noël, des chants liturgiques anciens et des Negro Spirituals. Les répétitions avaient lieu tous les mardis soirs de septembre à mai. À quelques reprises, le Chœur Franc-Nord a unis sa voix à d’autres chorales, notamment à celles de Longlac et de Kapuskasing.

L’objectif de la chorale était de s’autofinancer. Pour ce faire, chaque membre devait payer des frais d’inscription. Elle présentait deux concerts annuels. Les frais d’admission aux concerts contribuaient également au financement de la chorale. Le Chœur Franc-Nord cesse ses activités en 1999.

Person · 1906 - 1996

D’origine française, Jacqueline Plouchart est née à Blois, le 21 avril 1906. Après avoir complété son baccalauréat, elle poursuivit des études en arts et musique à l’École de la Loire. Aquarelliste et portraitiste, elle a aussi étudié le piano et donné plusieurs concerts. Le 2 juillet 1930, elle épouse Brice Clamouse de La Touche. De cette union nait une fille, Danielle. Jacqueline Clamouse de la Touche s’installe à Hearst en compagnie de sa famille, en 1947. Ingénieur forestier, né en Touraine, Brice Clamouse de la Touche obtient alors la gérance des opérations de la Transcontinental Timber Company Limited, une entreprise française dont les bureaux administratifs sont situés au lac Nassau, à 50 kilomètres au sud-ouest de Hearst. La famille Clamouse de la Touche y possède aussi une « maisonnette ». Alors que son époux s’occupe des opérations forestières, Madame Clamouse de la Touche, adepte de plein air et artiste aux multiples talents, s’adonne notamment à la photographie. Entre 1947 et 1957, elle prendra des centaines de diapositives. À la suite du décès de son conjoint, en avril 1957, Jacqueline Clamouse de La Touche déménage à Toronto. Elle y meurt le 21 avril 1996.

Guindon, Laurent
Person · 1939 - 2012

Né à Opasatika, le 17 novembre 1939, Laurent Guindon poursuit, à compter de 1954, ses études secondaires au Petit Séminaire de Hearst, aujourd’hui l’Université de Hearst. Il y obtient un baccalauréat es arts en 1961 et fait ainsi partie du premier groupe de diplômés universitaires de l’institution. En 1962, il s’inscrit au College of Optometry de Toronto et y obtient un doctorat en 1966. Il épouse Rita Vaillancourt, une jeune enseignante originaire de Hearst, en 1964. Secondé par son épouse, il ouvre un bureau d’optométrie à Hearst en 1966. Il exerce sa profession à Hearst jusqu’en 2006, année où il vend sa clinique à son fils Thierry. Au cours de sa carrière, il offrira aussi des services d’optométrie à travers la région en se rendant d’abord à Hornepayne (1967-1969), en ayant un bureau à Kapuskasing (1969-1978) et à Longlac en 1995. Laurent Guindon est décédé le 8 aout 2012.

La Boîte à Lettres
Corporate body · 1987 - 2001

En 1987, Pierrette Mercier forme avec Lauré Girard, Françoise Groleau, Luc Morneau et Lucie Paquin un collectif ayant comme objectif de fournir des services de formation de base à des adultes francophones résidant dans la ville de Hearst et des environs afin de leur permettre de perfectionner leurs connaissances de la langue française, des mathématiques et de l’informatique. Appuyé par le Conseil des Arts de Hearst et de l’ACFO régionale du Grand Nord, le collectif fonde La Boîte à Lettres. D’abord installé dans les locaux du Conseil des Arts de Hearst, l’organisme amorce ses activités en 1987 et s’incorpore en 1989.

Northern Times
Corporate body · 1961-2018

Le Northern Times, un hebdomadaire de langue anglaise, a été fondé à Kapuskasing par René et Olga Piché. C’est à la suite de la disparition du journal Northern Tribune que René Piché décide de lancer l’hebdomadaire. Le premier numéro parait le 22 mars 1961. Au moment où il fête son 25e anniversaire, en 1986, le Northern Times était « the largest communication media operating exclusively in the area ». Vendu en 1998, le Northern Times fait maintenant partie du groupe Sun Media et publie également l’hebdomadaire The Weekender.

The Northern Miner
Corporate body · 1915

En 1915, alors que l’exploitation minière s’amorce dans l’euphorie, dans le nord de l’Ontario, Ben Hughes et Ernie Hand fondent The Northern Miner. Établi à Cobalt, cet hebdomadaire s’intéresse à tous les aspects de l’industrie minière. En 1916, un journaliste torontois, Richard Pearce, se porte acquéreur d’une partie du journal. Par la suite, ses frères Norm et Jack se joignent à lui et à compter de 1925, la famille Pearce devient l’unique propriétaire du Northern Miner. En 1929, le siège social du journal se transporte à Toronto. The Northern Miner demeura la propriété de la famille Pearce jusqu’en 1989, alors qu’il est vendu à une filiale de la compagnie Southam Business. Toujours en opération, cet hebdomadaire est actuellement publié par la compagnie Business Information Group.

Levesque, Bernard
Person · Unknown

Bernard Levesque était un résidant de Kapuskasing.

Corporate body · 1921

L’érection canonique de la paroisse Immaculée-Conception remonte à juin 1921, peu après l’incorporation de la ville de Kapuskasing. Les missionnaires Oblats de Marie-Immaculée se voient confier la nouvelle paroisse. Avec le consentement de l’évêque, les Pères Oblats achètent, en 1921, le magasin Chamandy pour en faire une église et un presbytère. Le premier curé de la paroisse est le père Oliva Paquette, alors responsable d’une soixantaine de familles catholiques dans la région.

Il faut rapidement déménager la paroisse à cause du nombre croissant de catholiques qui débarquent à Kapuskasing en raison de l’expansion rapide de l’industrie forestière. La construction d’une nouvelle église et d’un nouveau presbytère débutera en 1923. L’église de la paroisse, toujours utilisée aujourd’hui, est bénie par Mgr Joseph Hallé le 15 juin 1924.

La paroisse se chargera initialement de l’éducation de langue française à Kapuskasing. La première école primaire ouvre officiellement ses portes en 1921 dans le presbytère et est fréquentée par 18 garçons et 20 filles, chiffres qui doublent l’année suivante. Les Sœurs de la Charité d’Ottawa (Sœurs grises) et les Frères du Sacré-Cœur s’occuperont de la formation des élèves à partir de 1926 et de 1944, respectivement.

En raison de la croissance démographique, trois autres paroisses sont formées à partir de 1954, soit Notre-Dame-de-la-Paix, Notre-Dame-des-Victoires et la paroisse anglophone St. Patrick. Une école primaire est reliée à chaque paroisse.

En 1988, le clergé diocésain prend la responsabilité de la paroisse. Le père Jean-Guy Mailloux devient ainsi le premier curé séculier de l’église. Des rénovations majeures ont lieu à l’église en 1927, 1938, 1949, 1956, 1958 et, finalement, en 1993.

Boutin, Rollande
Person · 1930

Rollande Boutin (née Beaudoin) est originaire de Sainte-Hénédine, un petit village dans la région de la Chaudière-Appalaches, autrefois la Beauce, au Québec. Elle est la deuxième d’une famille de quinze enfants.

Rollande Boutin quitte la ferme familiale au cours des années 1940 pour aller faire son cours d’arts, connue comme l’École normale, chez les Ursulines en Mauricie. En 1947, elle devient enseignante à l’école Saint-Jean-Baptiste tout près de sa région natale. Insatisfaite de ses conditions salariales, elle décide, à la suggestion d’une tante habitant alors dans le nord de l’Ontario, de venir enseigner à Calstock, un petit village situé à l’ouest de Hearst.

Rollande Boutin est embauchée en 1950 par la compagnie Arrow Timber pour enseigner à Calstock, poste qu’elle occupe pendant une année. Elle retourne au Québec pendant la période estivale de 1951, mais décide de revenir dans le Nord ontarien, à l’automne, après avoir accepté un nouveau poste à Jogues. Elle abandonne officiellement l’enseignement en 1953 pour se marier et se consacrer à la famille. Elle et son mari, Gaston Boutin, déménagent ensuite à Sherbrooke au Québec et y passeront quatre ans. En août 1957, ils s’installent en permanence à Hearst, endroit où ils élèvent leurs sept enfants.

Mme Boutin devient bénévole dans les écoles de la région lorsque ses enfants sont devenus adultes.

La Défriche
Corporate body · 1974

La Défriche est un projet d’histoire locale mené par des étudiantes du Collège Universitaire de Hearst, maintenant l’Université de Hearst, à l’été 1974, dans le cadre du programme Perspectives-Jeunesse. Réalisant qu’il n’existait alors aucun document écrit sur l’histoire de la région allant de Ryland à Val-Rita, incluant les villages de Jogues et de Coppell, l’équipe de la défriche, formée de Danielle Coulombe, Luce Fortin, Noëlline Marchildon, Hélène Touchette et Carmelle Vallières, réalisa une série d’entrevues auprès de pionnières et de pionniers de la région. Un document intitulé La Défriche a été produit, la même année, à la suite de ces entrevues. Quelques années plus tard, une copie des entrevues a été déposée au Centre de recherche en civilisation canadienne-française (CRCCF) de l’Université d’Ottawa.

Morneau, Yvon
Person · 1948-

Né en 1948, Yvon Morneau a vécu plusieurs années dans le village forestier de Kabina, situé à environ 32 kilomètres à l’ouest de Hearst. Son père, Roger Morneau, travaillait alors à la scierie J.D. Levesque Lumber. La famille Morneau y vécu de 1952 à 1961. Enfant, Yvon a fréquenté l’école à Kabina et il a été témoin de l’évolution du village forestier. Tout juste avant la fermeture de la scierie, la famille quitte le village de Kabina pour s’établir à Hearst.

Angus, Donald S.
Person

Donald S. Angus a habité à Senneville, au Québec. Il a exploité le bateau Alert dans la rivière des Outaouais et le fleuve Saint-Laurent, de 1912 à 1975.

Brisson, Huguette
Person · 1949-

Lors de la fermeture de l’école de Fryatt, ces documents avaient été sauvegardés par Fabien Brisson, père d’Huguette Brisson. Cette dernière les a remis au Centre d’archives de la Grande Zone argileuse.

Daily Press
Corporate body · 1935-

En 1934, Roy Thomson achète l’hebdomadaire Timmins Press et le transforme en quotidien l’année suivante. Connu comme le Daily Press depuis le 30 septembre 1935, le quotidien de langue anglaise a été le premier journal à appartenir à celui qui allait devenir un magnat de la presse canadienne. Au cours des dernières décennies, le quotidien a changé de propriétaires à plusieurs reprises et appartient aujourd’hui à Postmedia. Bien qu’il s’intéresse à la scène nationale et internationale, le journal traite principalement de la vie politique, économique et sociale ainsi que des activités communautaires, culturelles et sportives de Timmins et de la région. Au cours des années, le Daily Press a publié plusieurs éditions spéciales ayant comme objectif de commémorer des évènements importants, notamment les anniversaires de la ville de la Timmins.

Corporate body · 1961-1963

Nos connaissances au sujet de l’hebdomadaire Le Canadien de l’Ontario-Nord s’avèrent plutôt limitées. Probablement le premier journal de langue française de la région, il a vraisemblablement été fondé à Timmins en 1961. En 1963, au moment de sa fermeture, il était publié à Kapuskasing.

Cober, William
Person · 1869-05-16 - 1951-11-28

William Cober est né le 16 mai 1869. Sa famille était mennonite et son père gérait une scierie à Moorefield, en Ontario. William a travaillé comme ouvrier agricole en 1896, faisant du battage dans le sud de l’Ontario. Il a ensuite déménagé à Stratford et a commencé à travailler pour le chemin de fer du Grand Tronc. Il était chauffeur de locomotive, et il semble qu’il ait réussi les examens nécessaires pour devenir mécanicien de locomotive. Il était membre de la fraternité des chauffeurs de locomotive (Brotherhood of Locomotive Firemen). Le 1er mars 1905, il a épousé Mary Forrest, et le couple a eu une fille, Hazel, née le 25 juin 1907. La famille a habité à Stratford avant d’aller s’établir à Moorefield, probablement vers 1910. William Cober est décédé le 28 novembre 1951.

de la Riva, Adrienne
Person

Adrienne Chagnon, née à Ville-Marie (Québec), a étudié les soins infirmiers à l'Université d'Ottawa. En 1963, elle s'installe avec son mari Ricardo de la Riva à Sudbury, en Ontario. Dès leur arrivée à Sudbury les de la Rivas s’impliquent dans la communauté. Ils ont été actifs tant dans les secteurs culturels, sociaux, politiques que récréatifs. Adrienne a siégé au comité du musée du Moulin à fleur en tant que secrétaire-trésorière et a participé à la campagne visant à sauvguarder les silos du Moulin à fleur à leur trouver une nouvelle vocation. Beaucoup d’initiatives sont alors entreprises conjointement avec des groupes d’hommes d’affaires et des résidents du quartier.

Les différentes réalisations et l’engagement d'Adrienne de la Riva ont été soulignés de différentes façons et à plusieurs reprises, mais mentionnons que la ville de Sudbury a présenté à Adrienne un certificat d’appréciation en reconnaissance du service bénévole exceptionnel fourni à la communauté et que son travail a aussi été reconnu par le gouvernement d’Ontario pour son dévouement à la conservation du patrimoine culturel.