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Tremblay, Gaston
Person · 30 août 1949 -

Tremblay, Gaston. Auteur et gestionnaire, principalement, dans les domaines de l'édition et du théâtre. Sturgeon Falls (Ontario), 30 août 1949 - . Fils de Roland Tremblay et Flore Goulard; ami d'enfance d'André Paiement; marié à Margaretha Spooner, 1970; Études : primaire à l'école Sacré-Coeur, Sturgeon Falls, 1956-1962; secondaire, cours classique au Collège du Sacré-Coeur, Sudbury (Ontario), 1962-1965, Sturgeon Falls Secondary School, 1965-1967, et au Collège Notre-Dame, Sudbury, 1968; Université Laurentienne, Sudbury, 1970-1974; études en scénographie, option théâtre, Cégep Lionel-Groulx, Sainte-Thérèse (Québec); Université Laurentienne, B.A (littérature et commerce) et certificat de bilinguisme, 1978; Banff Arts Centre (Colombie-Britannique), certificat de Management for Arts Administrator, 1987; École des hautes études commerciales, Montréal (Québec), diplôme de 2e cycle de gestion des organismes culturels, 1990; Université du Québec à Montréal, certificat en français écrit, 1997, M.A (lettres, titre du mémoire,Les portes de l'enfer et L'oeuvre de chair et d'esprit,), 1999, études doctorales en études littéraires (titre de la thèse déposée en 2004, ,La littérature du vacuum,), 1999-2004. Université Laurentienne, animateur des étudiants, 1973-1974; programme « Perspective jeunesse » dans le Nouvel-Ontario, superviseur régional des projets, été 1974 et été 1975; Théâtre du Nouvel-Ontario (Sudbury), directeur administratif, 1975-1976; Éditions Prise de parole (Sudbury), directeur général, 1978-1988; L'Espace La Veillée (Montréal), directeur administratif, 1989; L'Agora de la danse (Montréal), 1990-1992; Monument National (Montréal), 1993-1995; Université du Québec à Montréal, chargé de cours, création littéraire, 2002-2003; Queen's University (Kingston, Ontario), chargé de cours, français des affaires, 2002-2004, et écrivain en résidence, hiver 2004. Participation à plusieurs spectacles de poésie en Ontario et au Québec, et à des conférences, colloques, etc.; animateur de nombreux ateliers de création littéraire; fondateur et organisateur de la première, de la deuxième, de la dixième et de la onzième Nuit sur l'étang à Sudbury; fondateur des Éditions Prise de Parole; membre d'associations professionnelles et de divers jurys dont ceux du Conseil des arts du Canada; récipiendaire de diverses bourses, entre autres, du Conseil des arts du Canada, du Conseil des arts de l'Ontario, du Conseil des arts et des lettres du Québec. Publications : , En attendant, (poésie), 1976; ,Souvenances, (poésie), 1979; ,La veuve rouge, (poésie), 1986; ,Souvenir de Daniel, (nouvelles), 1995; ,Prendre la parole : le journal de bord du grand, CANO (essai), 1996; ,Le Nickel Strange, (roman), 2000; ,L'autobus de la pluie , (poésie), 2001; ,Sur le lac Clair, (poésie), 2001; , Le langage des chiens, (roman), 2002; ,L'écho de nos voix, (essai), 2003; plus de quinze articles publiés entre autres dans le magazine ,Liaison, et,La Revue du Nouvel-Ontario. , Source : curriculum vitae et pages Web.

Tremblay, Sylvie C.R., 1966-
Person · 1966-

Sylvie C.R. Tremblay a travaillé en tant qu'étudiante au Service historique du Ministère de la Défense nationale. Elle faisait partie du programme coopératif de l'Université d'Ottawa, où elle a obtenu son baccalauréat es arts, avec spécialisation histoire. Elle a également rédigé une étude intitulée: "La Marine royale canadienne, 1919-1936".

Vigneault, François
Person · 1964-

Capitaine François Vigneault est membre des Forces canadiennes et fait des recherches en histoire militaire. Il est né à Montréal, le 18 avril 1964. Membre des Forces canadiennes depuis le 31 mars 1981, il fut envoyé en Afghanistan en janvier 2009 en tant qu’inspecteur des bureaux de postes militaires et au Soudan de juin à décembre 2010 en tant qu’observateur militaire avec l’ONU. Bachelier en sciences, le Capt. François Vigneault collectionne les affiches militaires et les affiches de propagande par intérêt personnel. Il est marié et réside présentement à Ottawa.

Corporate body · 1874-1953

C’est une fonderie établie en 1844 par P.C. Van Brocklin à Brantford, en Ontario, qui a donné lieu aux diverses entreprises Waterous. Cette fonderie fabriquait des poêles et des charrues jusqu’à l’arrivée de Charles H. Waterous (1814-1892), machiniste et fondeur, qui a tôt fait d’élargir la gamme de produits pour y inclure des scieries, lesquelles sont devenues le produit phare de la Brantford Engine Works Co. Waterous a été le premier à introduire la scierie en ligne droite, un outillage qui a été vendu par milliers partout dans le monde. La compagnie fabriquait également des machines à vapeur portatives. En 1874, Waterous et ses fils sont devenus propriétaires de la scierie, qu’ils ont renommée Waterous Engine Works Co. En 1877, Waterous a obtenu le droit de fabriquer la machine à vapeur verticale Champion, qui était très populaire auprès des agriculteurs. Bien que Waterous avait mis au point une version de l’appareil avec moteur de traction, en 1890, l’entreprise a commencé à fabriquer des moteurs de traction plus conventionnels (très populaires jusqu’à ce que la demande chute et que la compagnie cesse de les fabriquer, en 1911). En 1887, la compagnie avait un bureau à Winnipeg, et deux des fils Waterous ont établi une usine à St. Paul, au Minnesota, pour la fabrication de matériel de pompiers pour les villes de l’Amérique du Nord. En 1929, la compagnie a acheté la société Edmonton Iron Works, dont les installations sont devenues le siège social de la Waterous pour tout l’ouest du Canada.

La société Waterous a prospéré pendant tout le début et le milieu du vingtième siècle grâce à l’ajout au portefeuille de matériel de construction de routes. Elle a également fait l’acquisition de brevets visant des broyeurs de pulpe de bois, ce qui, avec la fabrication de filtres, de triturateurs et de cuves, lui a conféré une place prédominante dans l’industrie des pâtes et papiers. Après la Seconde Guerre mondiale, la famille Waterous a vendu sa participation majoritaire dans la compagnie à la Modern Tool Works, à Toronto. La société Koehring Co., un fabricant américain de matériel de construction et de foresterie, a acheté la Waterous Company en septembre 1953, qui est alors devenue la Koehring-Waterous Ltd. En 1988, Koehring-Waterous a été acquise par la société Timberjack Ltd., un fabricant de matériel de récolte forestière situé à Woodstock, en Ontario. Les dernières années de production de l’usine Waterous ont été consacrées à la fabrication de débusqueuses, de treuils et d’autre équipement d’exploitation forestière. En 1991, Timberjack a été achetée par Rauma Repola, un conglomérat finnois ayant des intérêts commerciaux dans l’équipement de construction et le matériel forestier. Le 6 octobre 1992, la fermeture de l’usine Koehring-Waterous est annoncée. Tout le matériel d’usine a été vendu aux enchères en février 1993, et les bâtiments ont été rasés en 1994.

Person · 1954-

Michael Whitby (1954-) est le chef de l’équipe de l'histoire navale à la Direction – Histoire et patrimoine et responsable de la publication des trois volumes de l’Histoire officielle de la Marine royale canadienne (MRC), 1867-1968. Il est le co-auteur du volume 2, partie 1 de cette série, la partie sur la MRC pendant la Deuxième Guerre mondiale. De plus, il a co-écrit deux livres sur l’expérience canadienne lors de la Deuxième Guerre mondiale. Il a co-édité un historique technique de l’aéronavale canadienne et publié plusieurs articles sur l’histoire navale dans des revues internationales. M. Whitby a aussi servi en tant que rédacteur sénior des allocutions et analyste des politiques au QGDN.

Windsor, Jack, 1914-2000
Person · 1914-05-03 - 2000-12-20

John J. Windsor, connu sous le nom de Jack Windsor, est né le 3 mai 1914 à Toronto, en Ontario, l’aîné de quatre enfants. Il a obtenu un diplôme d’un collège technique à Toronto, en 1931. Au cours des années suivantes, il a travaillé comme gérant du restaurant-minute White Corners à Lindsay, en Ontario, tout en poursuivant des cours du soir en dessin technique. En 1938, il a épousé Paula Thora Card. Windsor est entré au service de la compagnie Massey Ferguson en janvier 1941, et semble avoir pris sa retraite en 1979. Durant sa carrière à Massey Ferguson, il a joué un rôle déterminant dans la conception de la moissonneuse-batteuse modèle 37, et a été envoyé en tant que représentant (conseiller en ingénierie ou ingénieur de projet) en Australie pendant un an, ainsi qu’en France pendant trois ans. Jack Windsor est décédé le 20 décembre 2000.

Person · 1897-1991

Conrad Payling Wright est né à Middlebrough, en Angleterre. Aucune information n’est connue concernant sa famille ou son enfance. Il semble d’avoir servi dans la Royal Garrison Artillery dans la Première Guerre mondiale. En 1924, il a épousé Esther Isabelle Clark (1895-1990) de Saint John, au Nouveau-Brunswick, qui est devenue une historienne maritime réputée. Après le mariage du couple, elle a suivi son mari à l’Université Stanford, en Californie, où il étudiait. Issue d’une famille aisée, elle a pu poursuivre son travail de recherche historique à temps plein. Plus tard, elle a habité à Wolfville, en Nouvelle-Écosse, alors que son époux passait la majeure partie de son temps en Ontario. Les deux étaient encore mariés au moment du décès de l’historienne, en 1990. Conrad Wright a accepté la reconnaissance de l’Ordre du Canada qui a été décernée à Esther Clark Wright à titre posthume, en 1990.

Conrad Wright est l’auteur de l’ouvrage The St. Lawrence Deep Waterway: A Canadian Appraisal (1935) qui porte sur le traité non ratifié de 1932 entre le Canada et les États-Unis concernant une voie navigable en eau profonde entre les Grands Lacs et l’océan Atlantique, et sur les avantages qu’une telle voie maritime pourrait procurer. Prenant appui sur ses vastes résultats de recherche, Conrad Wright a continué d’assembler de l’information forte variée sur ce qui est devenu la Voie maritime du Saint Laurent en 1959 et sur les projets hydroélectriques qui en ont découlé. Il prévoyait écrire un livre sur la nouvelle voie maritime, mais ce projet n’a jamais vu le jour. Il a toutefois donné plusieurs conférences sur le sujet et a fait plusieurs présentations auprès de groupes intéressés. Wright est décédé en 1991.

Zseliski, Zdzislaw
Person · 1924 - 2018-01-23

Zdzislaw Ludwig Szeliski, plus souvent appelé Dick Szeliski, est né en Pologne en 1924. Il était membre de la résistance polonaise et a participé à l’insurrection de Varsovie en 1944. Après avoir été libéré d’un camp de prisonniers de guerre, Szeliski a intégré le Second corps polonais en Italie. À la fin de la guerre, il s’est installé à Londres où il a obtenu un diplôme de génie civil avant de commencer sa carrière professionnelle, en 1950, au bureau de conception des ponts (Bridge Design Office) des chemins de fer britanniques (British Railways). Il est arrivé au Canada en 1951 et a obtenu un emploi au département d’ingénierie des Chemins de fer nationaux du Canada. Il était ingénieur principal en structures au moment des travaux de contournement au pont Victoria, pendant les années 1950. Il a ensuite été promu ingénieur en chef adjoint, Structures, devenant responsable de la conception, de la construction et de l’entretien des ponts et bâtiments pour l’ensemble du réseau du Canadien National. Au moment de sa retraite en 1986, il occupait le poste d’ingénieur en chef, Ponts et structures. Il a ensuite travaillé en tant que conseiller pour la société CANAC International sur plusieurs projets internationaux. Szeliski était un membre actif de l’Association canadienne de normalisation, ayant notamment présidé le comité sur les ponts ferroviaires en béton. Il a donné plusieurs conférences au sujet du pont Victoria. Szeliski a épousé Jadwiga Mieszkowska en 1954, avec qui il a eu deux enfants. Szeliski est décédé le 23 janvier 2018.

Fournier, Stephen
Person · 1852-1929

Jean Étienne Fournier (1852-1929), aussi connu sous le nom de Stephen par la communauté anglophone, homme d’affaires et premier maire de la ville de Sudbury, est natif de Trois-Pistoles, Québec. Il a travaillé à la construction du chemin de fer à Petawawa, avant d’être engagé par le Canadien Pacifique comme gérant d’entrepôt à Chalk River.

C’est en 1884 que Jean Étienne Fournier arrive à Sudbury, à titre de maître de poste, fonction qu’il occupera jusqu’en 1897. Lorsqu’il ouvre le premier magasin général de Sudbury en 1885, il démissionne de son poste de gérant d’entrepôt pour le Canadien Pacifique. Cette même année, il est élu chancelier du Canton de McKim. À la fondation de la ville de Sudbury, en 1893, il est élu maire de la ville et sera réélu en 1896. L’année suivante, il devient greffier de la ville. Membre actif de la communauté, il est aussi membre de la première commission scolaire des Écoles publiques et séparées de la région (1886-1916), et un des membres fondateurs du Collège Sacré-Coeur de Sudbury (1913).

Marié en première noce à Vitaline Ouellette (1858-1895), de qui il a 9 enfants, Jean Étienne Fournier se remaria en 1898, à Mademoiselle L. Lanthier.

Feeney, Thomas G.
Person · 1924-1988

Thomas G. Feeney est né en 1924. Le professeur Feeney s'est joint à l'Université d'Ottawa comme directeur des cours en Common Law en 1957. Il est le premier doyen de la Common Law Section en 1962 et assume ce rôle jusqu'en 1973. Feeney est l'auteur de plusieurs livres, dont le Canadian Law of Wills qui est utilisé dans les facultés de droit à travers le Canada. Il décède le 17 juillet 1988

Mackenzie, Ron
Person

Ron Mackenzie est photographe pour la Gazette de L'Université pour la période de 1979-1981.

Corporate body · 1974-

Le Comité consultatif pour la formation à l'enseignement a été créé suite aux conditions d'une entente conclue avec le ministère de l'Éducation de l'Ontario, le 1er septembre 1974. Ce Comité a compétence pour faire des recommandations au Sénat sur les sujets touchant le programme de formation aux enseignants.

Larochelle, Léonard
Person · Inconnu

Léonard Larochelle a enseigné au Séminaire de Hearst de 1958 à 1960. Il a par la suite poursuivi sa carrière d’enseignant au Québec. Une partie des documents ont été envoyés à la suite de la participation du donateur aux Retrouvailles, lors du cinquantième anniversaire de l’Université de Hearst. D’autres documents ont été envoyés en 2013.

Germain, Doric
Person · 1946

Né en 1946, au lac Sainte-Thérèse, patelin situé à 13 kilomètres au nord de Hearst, Doric Germain détient un baccalauréat es arts de l’Université de Hearst et une maitrise de l’Université d’Ottawa. À la retraite depuis quelques années, il a consacré la plus grande partie de sa carrière à l’enseignement de la langue et des littératures françaises à l’Université de Hearst. Auteur de plusieurs romans à succès, on le considère comme le plus connu des romanciers de l’Ontario français. En 2004, il a obtenu le prix des lecteurs Radio-Canada pour son roman historique intitulé Défenses légitimes. En reconnaissance pour sa participation à « l’avancement et à la vitalité » de la communauté franco-ontarienne, les Amies et Amis de la Francophonie de Hearst lui ont décerné le prix Mariette Carrier-Fraser, en septembre 2014. « Le MARIETTE vise à honorer les francophones ou les francophiles qui ont apporté une contribution remarquable à la communauté francophone » (Prix Mariette Carrier-Fraser, Conseil des Arts de Hearst).

Franco-Femmes
Corporate body · 1977 - 1994

Association féministe à but non lucratif, Franco-Femmes regroupait des Franco-Ontariennes de la région de Hearst et de Kapuskasing. Le groupe, qui voit le jour en 1977, fonctionnait par consensus et avait comme mandat de promouvoir l’amélioration de tous les aspects de la vie des femmes du nord de l’Ontario qui, en raison de leur isolement géographique, culturel, social et économique, avaient des préoccupations distinctes. Pour atteindre leurs objectifs, les membres de Franco-Femmes tentèrent de sensibiliser les femmes de la région en organisant diverses activités. En plus de leur chronique bimensuelle dans le journal Le Nord, elles organisaient notamment les rencontres annuelles Au Féminin, ainsi que des activités pour célébrer le 8 mars, journée internationale de la femme. C’est à la suite de la rencontre Au Féminin de 1979 que le groupe marraine la fondation de l’Association Parmi-Elles. En 1985, Franco-Femmes met aussi sur pied l’Escale, un centre de ressources, qui avait comme objectif de favoriser l’amélioration de la condition féminine en travaillant à l’obtention de services pour les femmes de toute la région.

Regroupement féminin ayant comme objectif de favoriser l’indépendance économique des femmes, l’Association Parmi-Elles œuvre, dès le départ, à la création et au soutien d’une petite entreprise pouvant fournir de l’emploi stable aux femmes de la région. L’association reçoit, au début des années 1980, des subventions pour mener des études de faisabilité pour l’établissement d’une entreprise locale qui serait gérée par des femmes. L’association propose officiellement un projet de serres commerciales en 1981. Le projet va de l’avant grâce aux efforts de l’association qui réussit à trouver plus de 70 investisseurs locaux. La Maison Verte, une serre destinée à faire pousser des semis pour le reboisement, est incorporée à l’automne 1982. Toujours en activité aujourd’hui, La Maison Verte a contribué à l’économie régionale tout en créant des emplois destinés aux femmes.

Hearst Tribune
Corporate body · 1973 - 1979

À la fin de l’année 1973, le journal Northern Times de Kapuskasing entreprend la publication d’un nouvel hebdomadaire The/La Hearst Tribune. Au début, la plupart des articles et des chroniques sont publiés en anglais. Par la suite, des collaborateurs et des collaboratrices provenant de divers secteurs d’activités s’ajoutent à l’équipe. Leurs articles, souvent rédigés en français, traitent de divers sujets et présentent les activités d’organismes communautaires et sportifs de la région de Hearst. Le dernier numéro de l’hebdomadaire est publié le 28 mars 1979. On y annonce alors sa fusion avec le Northern Times.

L'Élan
Corporate body · 1987-1989

Fondé à Hearst, par André Bolduc, le premier numéro de L’Élan parait le 30 juin 1987. Se présentant comme « une revue communautaire », l’hebdomadaire traçait, entre autres, le portrait d’une personne bien connue dans la région, chaque semaine. Au cours de sa première année d’existence, L’Élan a notamment fait connaitre Olive Côté, Vic Granholm, André Lanthier, Pierre Leroux, Guy Lizotte, Pierrette Mercier, Évariste Proulx, André Rhéaume, Carmen Trudel et Hélène Vachon. L’hebdomadaire s’intéressait aussi à l’actualité locale, décrivait le travail d’intervenantes et d’intervenants de tous les secteurs d’activités et consacrait plusieurs articles aux activités communautaires et sportives. S’y ajoutaient les chroniques de collaborateurs et collaboratrices provenant de tous les milieux. Habituellement de 24 à 28 pages, certains numéros du tabloïde comptaient jusqu’à 44 pages, alors que d’autres avaient deux sections. En novembre 1988, une édition spéciale était consacrée au champion olympique, Stéphane Lecours. À son apogée, le tirage de L’Élan se chiffrait à environ 2000 copies.

En octobre 1989, le fondateur et propriétaire de la revue accepte un nouvel emploi et transforme l’hebdomadaire en mensuel. Le dernier numéro de l’Élan parait en décembre 1989.

Fauchon, Lorraine
Person · 1941

Lorraine Fauchon, née Marceau, une résidante de Hearst, a travaillé à l’hôpital Notre-Dame de Hearst à partir de septembre 1959. Accompagnée de ses deux sœurs Armandine et Suzanne, elle a entrepris le cours d’aide-infirmière, tout en travaillant les soirs à l’hôpital. En mai 1961, les trois sœurs obtiennent leur diplôme de « pratical nurse (PN) ». À la suite de cet accomplissement, Armandine occupe un poste dans le département médical, Lorraine en pédiatrie et en maternité et Suzanne en maternité. En juillet 1961, Lorraine épouse Marcel Fauchon et quitte le marché du travail pour se consacrer à sa famille. En 1976, elle retourne travailler à l’hôpital après avoir obtenue son diplôme d’infirmière auxiliaire, au Collège Northern.

Comeau, Claude
Person · 1934

Fils de Marguerite Gagnon et Edmond Comeau, Claude Comeau épouse Mona Bégin en juillet 1957. De cette union naissent trois enfants : Robert, Julie et Lina. Pendant 15 ans, Claude Comeau travaille à la scierie Henry Selin Forest Products. En 1964, il achète l’hôtel Queen’s situé à Hearst.

Claude Comeau, le donateur du fonds, a enregistré, au cours des années, plusieurs films de type 8 mm. De sa collection privée constituée de plus de 43 films, le Centre d’archives de la Grande Zone argileuse en a numérisé cinq.