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Люди та організації
Landry, Denis
008 · Person · 1919 - 2008

Denis Landry est né à Azilda en Ontario, le 16 mai 1919. Il a commencé l’école à l'âge de sept ans et a gradué de la huitième année de l'École Publique Azilda #2, à l’âge de quatorze ans. Landry n’a pas pu continuer son éducation pour des raisons économiques. Il a commencé à travailler sur la ferme familiale où il s’occupe de la pasteurisation du lait et prend soin des animaux. Landry épouse Thérèse Paquette, le 6 janvier 1945. Sept enfants naissent de ce mariage.

Landry est un catholique dévoué qui aime la musique religieuse. Il est membre de la chorale de la paroisse de Chelmsford et quand la paroisse Sainte-Agnès est formé, il devient le directeur de la chorale pendant vingt ans.

Landry est une figure importante dans le secteur d'éducation dans les régions d'Azilda et de Chelmsford. Il joue un rôle significatif pendant la création de la Commission scolaire séparée du Roman Catholic Separate School Section No.1 [RCS.S No.1] en 1955. Il est nommé commissaire de la Commission scolaire séparée RCS.S No.1 de 1955 à 1956. Grâce aux efforts des commissaires, les écoles catholiques dans le district No.1 et No.2 se fusionné en 1961. Landry est élu président de la Commission scolaire séparée RCS.S No.1 & 2, le 7 janvier 1961. Les assemblés pour la commission sont tenus à l'école Ste-Marie à Azilda. Les commissaires de la Commission scolaire séparée jouent un rôle important dans la création de deux nouvelles écoles séparées; l’école St-Patrick et l’école St-Dominique-Savio. En 1965, Landry est nommé commissaire pour le Chelmsford Valley District High School Board. Il sert six ans comme commissaire pour ce Conseil pour assurer que tous les enfants catholiques de la région puissent poursuivre leurs études au niveau secondaire. En 1968, le Ministère de l'Éducation décide de restructurer l’administration en Ontario. Landry est nommé par le Chelmsford High School Board pour servir sur le comité 'Add-Hoc' pour préparer les documents nécessaires pour la restructuration des conseils scolaires en Ontario. Nommé représentant des écoles séparées de l’Ouest Landry tient ce poste pour douze années. Il dévoue 32 ans de service comme commissaire pour les écoles séparées et donne à une nouvelle génération d'enfants catholique française de la région de Rayside Balfour l’occasion d'apprendre et de grandir dans un système d'éducation convenable.

Lors de sa participation à l'évolution du système d’éducation à Azilda, Landry travaille comme mineur à Inco pour soutenir sa famille. Après 43 ans de service, Landry prend sa retraite et continue à travailler comme un agent d’immobiliers. Il est fier de la culture française. Son enthousiasme pour l'éducation, le village d'Azilda et la culture française l'inspiré à écrire et publier le livre Azilda, comme je l’ai connue.

Landry est aussi membre de la Coopérative funéraire et un membre fondateur du Club d’âge d’or d’Azilda. Denis Landry meurt le 6 mai 2008 à l'âge de 88 ans.

Chelmsford Women's Institute
036 · Corporate body · 1949 - 1960

Le Chelmsford Women's Institute a été fondé le 3 juin 1949 par des femmes de l’endroit. Il s’agissait d’une constituante des Women's Institutes in Canada fondées par Adelaide Hoodless en 1897. Mme Grace McCrystal (née Vaillancourt) organise la première réunion chez elle, à Chelmsford, à laquelle 16 dames assistent pour entendre la présidente du district, Mme H. Williams, et la secrétaire du district, Mme J. Hamilton, présenter le travail et les objectifs du Women’s Institute.

L’organisme se définit comme un groupe non partisan et non confessionnel se consacrant d’abord à l’éducation. Quelques-uns de ses comités permanents : agriculture et industries canadiennes, citoyenneté et éducation, activités communautaires et relations publiques, recherche historique et actualités, économie domestique et santé, et enfin, résolutions.

Le Women's Institute a aidé des familles locales dans le besoin, habituellement en menant des collectes de fonds, en donnant des vêtements ou en envoyant des fleurs. L’organisme a également fait des dons en argent à des causes nationales, par exemple la Croix-Rouge, présenté des documents de travail lors de réunions sur des sujets comme l’agriculture, l’histoire locale, la géographie, le magasinage et l’hygiène. Il a tenu des rencontres pour ses membres, notamment des réceptions-cadeaux pour bébé, des échanges de cadeaux de Noël et des promenades en traîneau. De 1949 à 1956, il a aussi documenté l’histoire de Chelmsford par l’entremise des albums de coupures historiques Tweedsmuir. Les travaux à cette fin ont été entrepris par la responsable du comité permanent de recherches historiques et d’actualités, Rose Cvitkovich.

Le Chelmsford Women's Institute a été officiellement dissout en 1960.

Quelques présidents du Chelmsford Women's Institute :

Mme A. Rhéaume (1949-1950)
Mme Albert DeFinney (décembre 1950-avril 1951)
Mme Yvonne Trottier (née Paquette) (1951-1952, 1953-1955)
Mme G. Castonguay (1952)
Mme Cvitkovich (1956)

Sarty, Roger Flynn, 1952-
Person · 1952-

Roger Flynn Sarty (1952-) était le chef de l’équipe d’histoire navale du Service historique (devenu la Direction - Histoire et patrimoine en 1996) du Quartier général de la Défense nationale (QGDN). Né à Halifax en Nouvelle-Écosse, il étudie à l’Université de Toronto où il obtient son baccalauréat en histoire en 1975. Il poursuit ses études universitaires en histoire et obtient sa maîtrise de l’Université Duke, en 1976, et termine son doctorat à l’Université de Toronto en 1982. Spécialiste en histoire militaire, il est l’auteur des livres “The Maritime Defence of Canada”, “ Le Canada et la Bataille de l’Atlantique ” et co-auteur de “Tin Pots and Private Ships: Canadian Naval Forces and German Sea Raiders, 1880-1919”, “Un pays dans la gêne : le Canada et le monde en 1939 ” et “Guardian of the Gulf: Sydney, Cape Breton and the Atlantic Wars”.

Corporate body · 1980-

L’université d’Ottawa a lancé son programme d’enseignement coopératif en 1980. Ce dernier est maintenant le deuxième en importance en Ontario, partage le troisième rang au niveau canadien et affiche un très haut taux de placement. Le programme Coop permet aux étudiants d’utiliser leurs compétences acquises en milieu académique par l’intermédiaire de travail concret rémunéré directement dans leur domaine d’étude. Il leur permet donc d’acquérir de l’expérience réelle de travaille tout en complétant leurs études.

Corporate body · fl.1973-1994

Le Sous-chef d'état-major de la Défense (SCEMD) est l'officier principal des opérations des Forces canadiennes. Il exerce le commandement et le contrôle sur les formations et les unités qui sont déployées dans le cadre d'opérations nationales, au nom du Chef d'état-major de la Défense (CEMD). L'organisation du SCEMD comporte: un état-major inter-armé de planification et des opérations situé au Quartier général de la Défense nationale; des effectifs et des représentants des Forces canadiennes affectés à l'étranger et leurs unités de soutien ainsi que plusieurs unités spécialisées. Ensemble, ils assurent un large éventail de soutien aux opérations et aux militaires canadiens en service à l'extérieur du pays. Cette organisation, assurant la coordination des opérations, intègre l'analyse du renseignement, la planification stratégique, la recherche opérationnelle et la géomatique.
Le SCEMD assume en particulier les responsabilités suivantes:
-assurer le commandement et le contrôle des opérations non courantes et des opérations de contingence au nom du CEMD;
-veiller à la production et à la diffusion propices de toutes sortes de renseignements militaires, notamment l'imagerie, la géomatique et assurer les services météorologiques et océanographiques;
-coordonner les fonctions interarmées comme les activités qui se déroulent à l'extérieur du Canada, le développement de capacités interarmées, les programmes interarmés et la doctrine générale;
-fournir les éléments interarmés aux opérations interarmées et interalliées;
-assurer la recherche et l'analyse opérationnelle.
Suite à l'établissement et au succès du système d'état-major mixte, le poste de sous-chef d'état-major de la défense (SCEMD) a été placé sous la direction du vice-chef d'état-major de la Défense (VCEMD) le 15 juillet 1992, afin d'améliorer l'efficacité organisationelle. Sous la direction du vice-chef d'état-major, le poste de sous-chef d'état-major a été séparé entre deux directeurs: renseignement, sécurité et opération (RSO) et planification et développement des forces (PDF).

Corporate body · fl.1969-1996

Le coordonateur de groupe – Langues officielles administrait les langues officielles du ministère de la Défense nationale. Lors de la période 1969-1987, beaucoup fut accompli dans le domaine de la reconnaissance formelle qu'une défense nationale effective nécessitait l'intégration des francophones au sein des institutions militaires.

Fournier, Stephen
Person · 1852-1929

Jean Étienne Fournier (1852-1929), aussi connu sous le nom de Stephen par la communauté anglophone, homme d’affaires et premier maire de la ville de Sudbury, est natif de Trois-Pistoles, Québec. Il a travaillé à la construction du chemin de fer à Petawawa, avant d’être engagé par le Canadien Pacifique comme gérant d’entrepôt à Chalk River.

C’est en 1884 que Jean Étienne Fournier arrive à Sudbury, à titre de maître de poste, fonction qu’il occupera jusqu’en 1897. Lorsqu’il ouvre le premier magasin général de Sudbury en 1885, il démissionne de son poste de gérant d’entrepôt pour le Canadien Pacifique. Cette même année, il est élu chancelier du Canton de McKim. À la fondation de la ville de Sudbury, en 1893, il est élu maire de la ville et sera réélu en 1896. L’année suivante, il devient greffier de la ville. Membre actif de la communauté, il est aussi membre de la première commission scolaire des Écoles publiques et séparées de la région (1886-1916), et un des membres fondateurs du Collège Sacré-Coeur de Sudbury (1913).

Marié en première noce à Vitaline Ouellette (1858-1895), de qui il a 9 enfants, Jean Étienne Fournier se remaria en 1898, à Mademoiselle L. Lanthier.

Feeney, Thomas G.
Person · 1924-1988

Thomas G. Feeney est né en 1924. Le professeur Feeney s'est joint à l'Université d'Ottawa comme directeur des cours en Common Law en 1957. Il est le premier doyen de la Common Law Section en 1962 et assume ce rôle jusqu'en 1973. Feeney est l'auteur de plusieurs livres, dont le Canadian Law of Wills qui est utilisé dans les facultés de droit à travers le Canada. Il décède le 17 juillet 1988

Mackenzie, Ron
Person

Ron Mackenzie est photographe pour la Gazette de L'Université pour la période de 1979-1981.

Corporate body · 1974-

Le Comité consultatif pour la formation à l'enseignement a été créé suite aux conditions d'une entente conclue avec le ministère de l'Éducation de l'Ontario, le 1er septembre 1974. Ce Comité a compétence pour faire des recommandations au Sénat sur les sujets touchant le programme de formation aux enseignants.

Tremblay, Sylvie C.R., 1966-
Person · 1966-

Sylvie C.R. Tremblay a travaillé en tant qu'étudiante au Service historique du Ministère de la Défense nationale. Elle faisait partie du programme coopératif de l'Université d'Ottawa, où elle a obtenu son baccalauréat es arts, avec spécialisation histoire. Elle a également rédigé une étude intitulée: "La Marine royale canadienne, 1919-1936".

Corporate body · 1997

Le 17 janvier 1997, le Bureau du Sénat de Belgique a proposé la création d'une commission spéciale Rwanda lors d'une séance plénière du Sénat. La commission se composerait du Président du Sénat et d'un représentant des groupes politiques au sein du Bureau du Sénat. Le 28 janvier 1997, la composition du Bureau de la commission spéciale Rwanda a été déterminée: M. Swaelen comme président du Sénat, étant président de plein droit, MM. Mahoux et Verhofstadt ont été désignés, respectivement, en tant que premier vice-président et deuxième vice-président, et M. Destexhe a été désigné secrétaire. La commission spéciale était composée en outre de MM. Caluwé et Hostekint, Mme Williame-Boonen, M. Ceder, MM. Anciaux et Jonkheer (avec voix consultative) et Mme Dua (avec voix consultative). Le 23 avril 1997, le Président du Sénat déposa au Bureau du Sénat une proposition visant à instituer une commission d'enquête parlementaire à part entière qui comprendrait quinze membres et qui remplacerait la commission spéciale composée, elle, de huit membres. La proposition fut adoptée sans amendement par le Sénat le 24 avril 1997. La réunion d'installation de la Commission d'enquête eut lieu le 30 avril 1997.
Le Bureau de la Commission d'enquête était composé comme suit: M. Swaelen, président de la Commission de droit, M. Mahoux vice-président, et M. Verhofstadt deuxième vice-président. MM. Mahoux et Verhofstadt furent également désignés secrétaires. Outre les membres du bureau, la Commission d'enquête comprenait M. Caluwé, Mme Thijs, M. Hotyat, Mme Lizin, MM. Goris, Hostekint, Moens, De Decker, Dextexhe, Mme Bribosia-Picard, Mme Williame-Boonen, M. Ceder, M. Anciaux (avec voix consultative), M. Jonckheer (avec voix consultative) et Mme Dua (ave voix consultative). Conformément à la décision du Sénat du 24 avril 1997, la Commission d'enquête avait pour mission "à partir du rapport du groupe ad hoc Rwanda, créé par décision de la Commission des Affaires étrangères du Sénat du 24 juillet 1996, de poursuivre le travail de la commision spéciale Rwanda instituée par le Sénat le 23 janvier 1997. La Commission examine quelles politiques les autorités belges et internationales ont menées, plus particulièrement quelles actions elles ont entreprises et formule éventuellement des conclusions concernant les responsabilités et les mesures qui devraient être prises dans le future." La Commision d'enquête disposait pour remplir sa mission de toutes les compétences visées à l'article 56 de la constitution et dans la loi du 3 mai 1880 sur les enquêtes parlementaires. Le travail de la Commission d'enquête dura huit mois. Le rapport fait au nom de la Commission d'enquête fut publié le 6 décembre 1997.

Person · 1902-

Charles-Marie Boissonnault (1902- ) a été un journaliste formé en histoire, en géographie et en démographie. Il est né à Saint-Blaise, comté de Saint-Jean, province de Québec, le 12 décembre 1902. Il est le fils de Lucien Isaïe Boissonnault, cultivateur, et de Marie Dumais, son épouse en troisièmes noces. Première journaliste canadienne-française, Marie Dumais s’est distinguée également en poésie. Elle a été connue sous les pseudonymes de Berthe d’Iberville et de Solanges.

Charles-Marie Boissonnault a fréquenté les collèges de Saint-Jean et de Valleyfield et fait ses études classiques au collège de Sherbrooke. Il a complété ses études classiques par une année de philosophie à l’université de Montréal. En 1947-1948, il a suivi les cours d’histoire et de méthodologie historique à l’Institut d’Histoire et de Géographie de l’université Laval sous la direction d’André Latreille, de Lyon et l’année suivante sous la direction de Pierre Deffontaine, en géographie humaine.

Le 17 octobre 1931, Charles-Marie Boissonnault épousait Germaine Casgrain, petite-fille, du côté maternel de l’honorable Alfred Mousseau, ancien premier ministre du Québec, et, du côté paternel de P. E. Casgrain (frère de l’historien Raymond Casgrain) historien et ex-député de l’Islet, au Québec. Charles-Marie et Germaine ont eu trois enfants : Charlotte, Germaine et Mireille.

À partir de 1940, Charles-Marie Boissonnault a travaillé comme publiciste au ministère de la Santé de la province de Québec. Il y a acquis une formation de démographe avec Paul Parrot, démographe officiel de la province de Québec. Il a fait une carrière journalistique au journal l’Événement comme chroniqueur judiciaire, secrétaire de rédaction et de publicité, directeur du supplément littéraire et scientifique et directeur des informations. Il a collaboré à l’éditorial sur les questions d’ordre général et sur les questions européennes. Il a également offert ses services aux journaux Le Soleil, Le Devoir, La Presse, ainsi que de nombreux magazines et revues canadiens-français.

Person · 1910-1998

Léopold Lamontagne (1910-1998) a été professeur, écrivain, militaire, traducteur, administrateur, annonceur de radio et musicien, principalement dans les régions d’Ottawa et de Kingston, ON. Il est né à Mont-Joli, Québec, le 9e de 13e enfants. Il a étudié au Séminaire de Rimouski, au Collège de Lévis, à l’École normale supérieure de Québec, à l’Université d’Ottawa et à la Sorbonne, à Paris, où il a finit sa thèse de doctorat en 1955, intitulé Arthur Buies, homme de lettres.
Il a commençé sa carrière comme enseignant en 1934, au Séminaire de Rimouski. Il s’est enrôlé dans l’armée en 1939. A partir de 1941, il a travaillé comme traducteur pour l’armée, tout en poursuivant des études universitaires le soir. De 1948 à 1960, il est enseignant de français, et ensuite chef de Département, au Royal Military College, à Kingston et au Collège militaire royal de Saint-Jean, avec une interlude en France, en 1954, pour poursuivre des études. Lors de son séjour à Kingston, Lamontagne est actif au sein de la communauté francophone, mettant sur pied une école et une paroisse desservant cette population.
En 1961, il devient professeur de Lettres françaises à l’Université Laval, et l’année suivante, il accepte le poste de Doyen de la Faculté. Il quitte le service actif avant de déménager à Québec mais reprend son grade de lieutenant-colonel et travaille avec le Corps-école d’officiers canadiens (CÉOC) à Laval. Il retourne à Ottawa en 1967 pour diriger un service d’admission aux collèges et universités. Tout au long de sa carrière, il poursuit son intérêt dans la traduction, et losqu’il prend prend une retraite préliminaire, en 1975, il commence un commerce de service de traduction. Il prend sa retraite définitive en 1991, à l’âge de 81 ans.
En plus de nombreux articles, discours et présentations, il a publié plus d’une douzaine d’ouvrages dont les suivants: Les Archives régimentaires des Fusiliers du Saint-Laurent (1943); Histoire du Royal 22e Régiment (en collaboration avec Charles-Marie Boissonnault, 1964) et Kingston: son héritage français (1995). Léopold Lamontagne est décédé le 21 juin 1998.

Litalien, Michel, 1964-
Person · 1964-

Michel Litalien est né à Iserlohn, en Allemagne, le 14 novembre 1964. Il est à l’emploi de la Direction - Histoire et patrimoine depuis 1998 où il a successivement dirigé l’équipe des Journaux de guerre, la section des Récompenses et distinctions honorifiques (DHP 4) et, depuis 2003, celle des Musées des Forces canadiennes et collections historiques (DHP 5). Il a obtenu son baccalauréat en histoire à l’Université de Montréal et il détient une maîtrise en histoire de l’Université d’Ottawa. Il sert au sein des Forces canadiennes depuis 1982 et détient présentement le grade de major. Logisticien de formation militaire, il a servi notamment au sein de bataillons des services et d’unités de soutien logistique. Il a un grand intérêt pour l’histoire militaire du service de Santé, des services de soutien et du Canada français en général. Il est l’auteur de cinq ouvrages ainsi que de nombreux articles. Il a également écrit pour le « Dictionnaire biographique du Canada ».

Gagnon, Jean-Pierre, 1942-
Person · 1942-

Jean-Pierre Gagnon (1942-) fut historien pour la Direction - Histoire et patrimoine (DHP) et écrivain. Il a obtenu son baccalauréat, sa licence ès Lettres et son doctorat en histoire à l'Université Laval. Il détient également une maîtrise de l'Université Carleton. À part son travail d'historien pour la Direction - Histoire et patrimoine, il a enseigné aux Universités Laval, et d’Ottawa ainsi qu'au Collège militaire royal du Canada à Kingston. Suite à des recherches menées à la DHP, il a publié un ouvrage intitulé "Le 22e bataillon (canadien-français) 1914-1919: étude socio-militaire". Il a également écrit plusieurs articles pour des revues historiques, pour le "Dictionnaire biographique du Canada" et pour le "Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec", en plus de participer à de nombreux colloques nationaux et internationaux. En outre, il a participé à la série télévisée "Le prix de la liberté" (au canal "D") et a été secrétaire et membre du conseil de direction de la Société historique du Canada.

Letellier, Armand
Person · 1913-2003

Le Colonel Joseph Oscar Armand Letellier (1913-2003) a servi dans l’armée canadienne pendant la Deuxième Guerre mondiale et a été nommé Directeur de l’Organisation du Quartier général de la défense nationale (QGDN) en 1966. Il reçoit son brevet d’officier dans le Régiment de Hull en 1934 et il obtient un B.A. à l’Université d’Ottawa. En 1939, il passe au service actif et sert au quartier général de la 1ère Armée canadienne dans le Nord-Ouest de l’Europe. De retour au Canada après la guerre, il s’initie à la bureaucratie dans le bureau du secrétaire de la Défense au QGDN. Après avoir servi en Allemagne avec la 27e Brigade d’infanterie en 1952-1953, il revient au QGDN. Puis il part à nouveau vers la République fédérale d’Allemagne à titre de Commandant du 3e bataillon du Royal 22e Régiment. En 1959, il revient à Ottawa et est nommé sous-directeur de l’infanterie. Promu Colonel en 1962, il est affecté au Collège d’état-major de l’Armée canadienne à Kingston où il oeuvre comme commandant adjoint. En 1966, il est nommé Directeur de l’Organisation du QGDN. Le General J.V. Allard fait appel à ses services pour mettre en place un Secrétariat au bilinguisme chargé d’établir la politique de la réforme linguistique au ministère de la Défense nationale. Il occupe ce poste pendant six mois et prend sa retraite en juillet 1968. Après un long séjour à Kingston, le Colonel Letellier et sa famille font un séjour d’un an à l’Université de Grenoble en France. De retour à Ottawa, il est rappelé par le général J.A. Dextraze, devenu chef de l’état-major de la Défense et il exerce différentes fonctions civiles au QGDN de 1971 à 1977. Armand Letellier est décédé le 19 janvier 2003.

Vigneault, François
Person · 1964-

Capitaine François Vigneault est membre des Forces canadiennes et fait des recherches en histoire militaire. Il est né à Montréal, le 18 avril 1964. Membre des Forces canadiennes depuis le 31 mars 1981, il fut envoyé en Afghanistan en janvier 2009 en tant qu’inspecteur des bureaux de postes militaires et au Soudan de juin à décembre 2010 en tant qu’observateur militaire avec l’ONU. Bachelier en sciences, le Capt. François Vigneault collectionne les affiches militaires et les affiches de propagande par intérêt personnel. Il est marié et réside présentement à Ottawa.

Moriceau, Christophe
Corporate body · fl.2015

Christophe Moriceau est un plongeur et un historien qui s’est concentré sur l’histoire maritime. Il a également écrit l’article « U 165 septembre noir sur le Saint-Laurent ». Il vit présentement, en 2015, à Saint-Avertin, France.